ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

LAZARE SILBERMANN - Ciné Doc - 2025-11-06

Ciné Doc - jeudi 06 novembre à 14h00

LAZARE SILBERMANN de Benjamin Silvestre

LA FEMME LA PLUS RICHE DU MONDE - Cap ciné - 2025-11-07

Cap ciné - vendredi 07 novembre à 20h15

LA FEMME LA PLUS RICHE DU MONDE de Thierry Klifa

LA FEMME LA PLUS RICHE DU MONDE - Cap ciné - 2025-11-07

Cap ciné - vendredi 07 novembre à 14h00

LA FEMME LA PLUS RICHE DU MONDE de Thierry Klifa

RÉSERVE NATURELLE RÉGIONALE DES COTEAUX DU PONT BARRÉ - Ciné doc - 2025-11-08

Ciné doc - samedi 08 novembre à 10h00

RÉSERVE NATURELLE RÉGIONALE DES COTEAUX DU PONT BARRÉ de Jean-Paul Gislard

LE VIVANT QUI SE DÉFEND - Séance unique - 2025-11-09

Séance unique - dimanche 09 novembre à 11h00

LE VIVANT QUI SE DÉFEND de Vincent Verzat

LES AIGLES DE LA RÉPUBLIQUE - Avant-première - 2025-11-11

Avant-première - mardi 11 novembre à 18h30

LES AIGLES DE LA RÉPUBLIQUE de Tarik Saleh

LE DERNIER COMPROMIS - Ciné Doc - 2025-11-13

Ciné Doc - jeudi 13 novembre à 20h00

LE DERNIER COMPROMIS de Anne Fonteneau

DISCO EUROP EXPRESS - Ciné doc - 2025-11-16

Ciné doc - dimanche 16 novembre à 16h00

DISCO EUROP EXPRESS de Olivier Monssens

DEMENTIA 13 - Séance unique - 2025-11-17

Séance unique - lundi 17 novembre à 21h00

DEMENTIA 13 de Francis Ford Coppola

SOUND OF METAL - Soirée Rencontre - 2025-11-17

Soirée Rencontre - lundi 17 novembre à 20h00

SOUND OF METAL de Darius Marder

RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE - Plans Cultes - 2025-11-18

Plans Cultes - mardi 18 novembre à 20h00

RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE de Steven Spielberg

ON VOUS CROIT - Soirée Rencontre - 2025-11-20

Soirée Rencontre - jeudi 20 novembre à 20h00

ON VOUS CROIT de Charlotte Devillers & Arnaud Dufeys

DES PREUVES D'AMOUR - Ciné Cosy - 2025-11-21

Ciné Cosy - vendredi 21 novembre à 14h00

DES PREUVES D'AMOUR de Alice Douard

UNE JOURNÉE PARTICULIÈRE - Ciné Classique - 2025-11-23

Ciné Classique - dimanche 23 novembre à 18h00

UNE JOURNÉE PARTICULIÈRE de Ettore Scola

SIDE TO SIDE - Ciné doc - 2025-11-26

Ciné doc - mercredi 26 novembre à 19h30

SIDE TO SIDE de François Pons & Marc Bouzik

LA VOIX DE HIND RAJAB - Soirée Rencontre - 2025-11-27

Soirée Rencontre - jeudi 27 novembre à 20h00

LA VOIX DE HIND RAJAB de Kaouther Ben Hania

BRENDAN ET LE SECRET DE KELLS - Soirée CinéConf - 2025-12-04

Soirée CinéConf - jeudi 04 décembre à 20h00

BRENDAN ET LE SECRET DE KELLS de Tom Moore

STUPS - Ciné Doc - 2025-12-15

Ciné Doc - lundi 15 décembre à 20h00

STUPS de Alice Odiot & Jean-Robert Viallet

THE TRUMAN SHOW - Plans Cultes - 2025-12-16

Plans Cultes - mardi 16 décembre à 20h00

THE TRUMAN SHOW de Peter Weir

THE MASK de Chuck Russell

ORANGE MÉCANIQUE - Plans Cultes - 2026-01-13

Plans Cultes - mardi 13 janvier à 20h00

ORANGE MÉCANIQUE de Stanley Kubrick

LE MAGNIFIQUE - Plans Cultes - 2026-03-10

Plans Cultes - mardi 10 mars à 20h00

LE MAGNIFIQUE de Philippe de Broca

LE PROFESSIONNEL de Georges Lautner

IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L'OUEST - Plans Cultes - 2026-04-07

Plans Cultes - mardi 07 avril à 20h00

IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L'OUEST de Sergio Leone

IL ÉTAIT UNE FOIS LA RÉVOLUTION - Plans Cultes - 2026-04-14

Plans Cultes - mardi 14 avril à 20h00

IL ÉTAIT UNE FOIS LA RÉVOLUTION de Sergio Leone

IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE - Plans Cultes - 2026-04-21

Plans Cultes - mardi 21 avril à 20h00

IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE de Sergio Leone

BOOGIE NIGHTS - Plans Cultes - 2026-05-05

Plans Cultes - mardi 05 mai à 20h00

BOOGIE NIGHTS de Paul Thomas Anderson

MARY À TOUT PRIX - Peter & Bobby Farrelly

A PROPOS

« L’opus le plus célèbre des frères Farrelly (leur troisième après Dumb & Dumberer et Kingpin), avec ses gags cultes et régressifs : la braguette meurtrière, le sperme-gel pour les cheveux, la séance de réanimation canine, etc. Mary à tout prix, c’est la version comique de L’Odyssée : l’histoire d’une Pénélope « parfaite » (jolie, drôle, intelligente et gentille ­ la craquante Cameron Diaz) courtisée par des prétendants plus siphonnés les uns que les autres, prêts à tout pour la séduire, et surtout à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas pour y parvenir (à ce jeu, c’est le revenant Matt Dillon qui remporte la palme). Ted (Ben Stiller), Ulysse moderne, est le seul à ne pas faire semblant, mais sa conduite d’échec retardera le moment de la conquête. »
LES INROCKUPTIBLES

Plans Cultes
mardi 1 avril 2025 à 20h00

SOIRÉE BEN STILLER

20h00 : MARY À TOUT PRIX de Peter & Bobby Farrelly
22h15 : TONNERRE SOUS LES TROPIQUES de Ben Stiller

Tarif spécial soirée : 11€ les 2 films sinon tarifs habituels


MARY À TOUT PRIX

de Peter & Bobby Farrelly

avec Ben Stiller, Cameron Diaz, Matt Dillon
USA - 1989 - 1h59 - VOST - Réédition - Version restaurée 4K

Ted, le loser, décide de retrouver son amour de jeunesse, la splendide Mary. Il engage un détective privé, Pat Healy, pour la retrouver. Persuadé qu'il a affaire à un dégénéré, Healy file à Miami et retrouve Mary. Elle est belle, gentille, s'occupe d'enfants handicapés et elle est célibataire. Decidé à garder Mary pour lui, il raconte à Ted qu'elle est devenue grosse, qu'elle est paralytique et qu'elle a quatre enfants. Mais Tucker, un architecte, est également amoureux de Mary. Il va faire cause commune avec Healy pour se débarrasser de Ted qui finalement a décidé de venir à Miami.
https://www.acaciasfilms.com/film/mary-a-tout-prix/

A PROPOS

« L’opus le plus célèbre des frères Farrelly (leur troisième après Dumb & Dumberer et Kingpin), avec ses gags cultes et régressifs : la braguette meurtrière, le sperme-gel pour les cheveux, la séance de réanimation canine, etc. Mary à tout prix, c’est la version comique de L’Odyssée : l’histoire d’une Pénélope « parfaite » (jolie, drôle, intelligente et gentille ­ la craquante Cameron Diaz) courtisée par des prétendants plus siphonnés les uns que les autres, prêts à tout pour la séduire, et surtout à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas pour y parvenir (à ce jeu, c’est le revenant Matt Dillon qui remporte la palme). Ted (Ben Stiller), Ulysse moderne, est le seul à ne pas faire semblant, mais sa conduite d’échec retardera le moment de la conquête. »
LES INROCKUPTIBLES

TONNERRE SOUS LES TROPIQUES - Ben Stiller

A PROPOS

Après Zoolander, l’acteur et réalisateur Ben Stiller nous livre une nouvelle comédie jouissive à l’humour régressif et rentre-dedans. Cette grosse farce intéresse surtout par son discours réflexif sur un système hollywoodien sans pitié pour ses acteurs. Cela sent le déjà-vu, mais Tonnerre sous les tropiques atteint une dimension inattendue grâce à la participation de Tom Cruise dans un rôle qui symbolise et transfigure à lui seul le propos du film. Ben Stiller, acteur doté d’un vrai sens du burlesque, est devenu une figure incontournable du renouveau de la comédie américaine de ces dernières années aux côtés des frères Farrelly, Adam Sandler, Judd Apatow ou encore Mike Myers. Son amour pour les situations régressives, traitées le plus souvent au premier degré, prend toute son ampleur dans sa nouvelle réalisation qui est un déluge de gags hilarants à la bêtise assumée – la représentation sans tabous des retardés mentaux a d’ailleurs provoqué un scandale aux USA. Cette farce se montre toutefois plus fine que ce que l’on pouvait en attendre. Tonnerre sous les tropiques débute par des faux trailers qui présentent intelligemment chaque personnage. Cette introduction expose d’emblée le dispositif réflexif du métrage : il s’agit d’une œuvre sur le star-system, le récit prenant pour prétexte le tournage d’un film d’action qui vire à la débâcle. Les protagonistes – une bande d’acteurs losers en perte de crédibilité et qui cherchent à se relancer – se retrouvent projetés dans une vraie zone de conflit alors qu’ils pensaient tourner des séquences d’un film de guerre. Ce genre est alors utilisé ici comme une métaphore bien pensée du parcours du combattant pour toucher au graal : l’Oscar. Nos héros, qui semblent bien fatigués par le stress, l’alcool et la cocaïne, sont prêts à tout pour acquérir la petite statue afin d’obtenir le respect du milieu. Stiller – prisonnier d’un groupe armé qui voue un culte à Simple Jack, le personnage de demeuré mental qu’il a interprété par le passé – se voit offrir une statue de pacotille qui le rend fou de joie et lui amène enfin une reconnaissance minable mais gratifiante. Tout est résumé ici. Entre deux vannes bien placées, le réalisateur délivre un discours très drôle sur le système hollywoodien. Bien que Tonnerre sous les tropiques désacralise le statut des acteurs – instruments d’une mécanique cinématographique implacable – il repose en grande partie sur le talent comique de ses interprètes. Le casting est dominé par un Ben Stiller excellent de candeur imbécile et un Robert Downey Jr – caricature de l’interprète de composition, devenant noir pour jouer son rôle de soldat afro-américain – toujours aussi en forme depuis sa résurrection. Il est présenté comme une star borderline qui baigne dans la drogue et l’alcool. Réflexivité toujours. L’œuvre est également parodique en se référant ouvertement à tous ces films des années 1980 qui traitent de la guerre du Viêt-Nam, tels que les inénarrables Hamburger Hill et Portés disparus ou le plus sérieux Platoon, mais il serait facile de la résumer à cela. Sous l’avalanche de gags et d’actions se cache une figure qui métaphorise à elle seule le discours de Stiller : Tom Cruise. La thématique du film atteint son paroxysme grâce à la participation de l’une des plus grandes stars hollywoodiennes de ces vingt dernières années. Cruise – grimé en producteur vulgaire au langage fleuri – livre une prestation comique incroyable. Il est le symbole même de l’acteur qui est passé de l’adulation à une certain déclin – tout du moins en ce qui concerne son image, fortement égratignée par ses affinités avec l’Église de Scientologie, sa rupture de contrat avec Paramount et ses interviews télévisées improbables. Le voilà ici dans le rôle d’un producteur tout-puissant à la tête d’un blockbuster composé d’acteurs ringards, ce qui le confronte directement à ce qu’il risque de devenir dans la réalité. Cette mise en abyme particulièrement perverse démontre aussi que l’acteur conserve un brin de recul sur ses récents déboires. La star conclut le film par une danse finale en forme de grand bras d’honneur destiné à tous ses détracteurs ; il crie haut et fort qu’il faut toujours compter sur lui. La volonté de Cruise de réhabiliter son image peut sembler agaçante mais elle prouve le caractère ridicule du star-system américain qui oblige ses vedettes à faire dans la surenchère pour paraître toujours dans le coup. Sa prestation transporte alors le film dans une autre dimension : l’acteur qui lutte pour ne pas être oublié devient une pure figure réflexive qui nous ramène à une réalité aussi comique que tragique. Stéphane Caillet (Critikat)

TONNERRE SOUS LES TROPIQUES

de Ben Stiller

avec Ben Stiller, Jack Black, Robert Downey Jr.
USA - 2008 - 2h01 - VOST - Réédition - Version restaurée 4K

Un casting d'enfer pour un voyage... au bout de l'enfer ! En tête d'affiche : Tugg Speedman, la star du film d'action, en chute libre depuis ses trois derniers navets. A ses côtés : Jeff Portnoy, spécialiste des comédies (très) bas de gamme, avide de prouver ses qualités de comédien ; Kirk Lazarus, acteur "Méthode" multi-recompensé et 100 % givré ; Chino, superstar pop et fan d'Al Pacino ; et Kevin Sandusky, le fringant petit jeune tout heureux de faire partie de la bande. Cinq egos surdimensionnés au service du "plus grand film de guerre de tous les temps". Sur le papier, ça se tient (ou presque), mais sur le tournage tout dérape : les caprices des stars et l'incapacité du réalisateur, Damien Cockburn, font grimper les frais à une allure vertigineuse, au point que le studio décide de tout arrêter... C'est alors que Damien a l'idée "géniale" d'entraîner sa petite troupe au coeur du Triangle d'Or pour une expérience de "cinéma-vérité" d'un genre inédit. Mortel...

A PROPOS

Après Zoolander, l’acteur et réalisateur Ben Stiller nous livre une nouvelle comédie jouissive à l’humour régressif et rentre-dedans. Cette grosse farce intéresse surtout par son discours réflexif sur un système hollywoodien sans pitié pour ses acteurs. Cela sent le déjà-vu, mais Tonnerre sous les tropiques atteint une dimension inattendue grâce à la participation de Tom Cruise dans un rôle qui symbolise et transfigure à lui seul le propos du film. Ben Stiller, acteur doté d’un vrai sens du burlesque, est devenu une figure incontournable du renouveau de la comédie américaine de ces dernières années aux côtés des frères Farrelly, Adam Sandler, Judd Apatow ou encore Mike Myers. Son amour pour les situations régressives, traitées le plus souvent au premier degré, prend toute son ampleur dans sa nouvelle réalisation qui est un déluge de gags hilarants à la bêtise assumée – la représentation sans tabous des retardés mentaux a d’ailleurs provoqué un scandale aux USA. Cette farce se montre toutefois plus fine que ce que l’on pouvait en attendre. Tonnerre sous les tropiques débute par des faux trailers qui présentent intelligemment chaque personnage. Cette introduction expose d’emblée le dispositif réflexif du métrage : il s’agit d’une œuvre sur le star-system, le récit prenant pour prétexte le tournage d’un film d’action qui vire à la débâcle. Les protagonistes – une bande d’acteurs losers en perte de crédibilité et qui cherchent à se relancer – se retrouvent projetés dans une vraie zone de conflit alors qu’ils pensaient tourner des séquences d’un film de guerre. Ce genre est alors utilisé ici comme une métaphore bien pensée du parcours du combattant pour toucher au graal : l’Oscar. Nos héros, qui semblent bien fatigués par le stress, l’alcool et la cocaïne, sont prêts à tout pour acquérir la petite statue afin d’obtenir le respect du milieu. Stiller – prisonnier d’un groupe armé qui voue un culte à Simple Jack, le personnage de demeuré mental qu’il a interprété par le passé – se voit offrir une statue de pacotille qui le rend fou de joie et lui amène enfin une reconnaissance minable mais gratifiante. Tout est résumé ici. Entre deux vannes bien placées, le réalisateur délivre un discours très drôle sur le système hollywoodien. Bien que Tonnerre sous les tropiques désacralise le statut des acteurs – instruments d’une mécanique cinématographique implacable – il repose en grande partie sur le talent comique de ses interprètes. Le casting est dominé par un Ben Stiller excellent de candeur imbécile et un Robert Downey Jr – caricature de l’interprète de composition, devenant noir pour jouer son rôle de soldat afro-américain – toujours aussi en forme depuis sa résurrection. Il est présenté comme une star borderline qui baigne dans la drogue et l’alcool. Réflexivité toujours. L’œuvre est également parodique en se référant ouvertement à tous ces films des années 1980 qui traitent de la guerre du Viêt-Nam, tels que les inénarrables Hamburger Hill et Portés disparus ou le plus sérieux Platoon, mais il serait facile de la résumer à cela. Sous l’avalanche de gags et d’actions se cache une figure qui métaphorise à elle seule le discours de Stiller : Tom Cruise. La thématique du film atteint son paroxysme grâce à la participation de l’une des plus grandes stars hollywoodiennes de ces vingt dernières années. Cruise – grimé en producteur vulgaire au langage fleuri – livre une prestation comique incroyable. Il est le symbole même de l’acteur qui est passé de l’adulation à une certain déclin – tout du moins en ce qui concerne son image, fortement égratignée par ses affinités avec l’Église de Scientologie, sa rupture de contrat avec Paramount et ses interviews télévisées improbables. Le voilà ici dans le rôle d’un producteur tout-puissant à la tête d’un blockbuster composé d’acteurs ringards, ce qui le confronte directement à ce qu’il risque de devenir dans la réalité. Cette mise en abyme particulièrement perverse démontre aussi que l’acteur conserve un brin de recul sur ses récents déboires. La star conclut le film par une danse finale en forme de grand bras d’honneur destiné à tous ses détracteurs ; il crie haut et fort qu’il faut toujours compter sur lui. La volonté de Cruise de réhabiliter son image peut sembler agaçante mais elle prouve le caractère ridicule du star-system américain qui oblige ses vedettes à faire dans la surenchère pour paraître toujours dans le coup. Sa prestation transporte alors le film dans une autre dimension : l’acteur qui lutte pour ne pas être oublié devient une pure figure réflexive qui nous ramène à une réalité aussi comique que tragique. Stéphane Caillet (Critikat)



Plans Cultes - SAISON 2025-2026
mardi 16 septembre à 20h00
LA PLANÈTE DES SINGES de Franklin J. Schaffner
mardi 7 octobre à 20h00
REQUIEM FOR A DREAM de Darren Aronofsky
vendredi 31 octobre à 20h00
PARANORMAL ACTIVITY de Oren Peli
REC de Jaume Balaguero & Paco Plaza
mardi 18 novembre à 20h00
RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE de Steven Spielberg
mardi 16 décembre à 20h00
THE TRUMAN SHOW de Peter Weir
THE MASK de Chuck Russell
mardi 13 janvier à 20h00
ORANGE MÉCANIQUE de Stanley Kubrick
samedi 14 février à 20h00
BODYGUARD de Mick Jackson
mardi 10 mars à 20h00
LE MAGNIFIQUE de Philippe de Broca
LE PROFESSIONNEL de Georges Lautner
mardi 7 avril à 20h00
mardi 14 avril à 20h00
mardi 21 avril à 20h00
mardi 5 mai à 20h00
BOOGIE NIGHTS de Paul Thomas Anderson