ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES
Ciné Rencontre - lundi 06 octobre à 20h00
EFFACER L'HISTORIQUE de Benoit Delepine & Gustave Kervern
Avant première / Rencontre - lundi 06 octobre à 20h00
L'INCONNU DE LA GRANDE ARCHE de Stéphane Demoustier
Plans Cultes - mardi 07 octobre à 20h00
REQUIEM FOR A DREAM de Darren Aronofsky
Ciné doc - jeudi 09 octobre à 20h00
RÉSERVE NATURELLE RÉGIONALE DES COTEAUX DU PONT BARRÉ de Jean-Paul Gislard
Ciné Cosy - vendredi 10 octobre à 14h00
NOUVELLE VAGUE de Richard Linklater
Ciné Rock - dimanche 12 octobre à 18h00
ONE TO ONE : JOHN & YOKO de Kevin Macdonald & Sam Rice-Edwards
Avant première / Rencontre - lundi 13 octobre à 20h00
L'INCROYABLE FEMME DES NEIGES de Sébastien Betbeder
Courts métrages - samedi 18 octobre à 09h45
13 / DANCING DAYDREAM / L'AMALGAME / EXEUNT / LE PETIT PHOTOGRAPHE
Avant-première - dimanche 19 octobre à 11h00
ARCO de Ugo Bienvenu
Soirée CinéConf - mardi 21 octobre à 20h00
HORUS PRINCE DU SOLEIL de Isao Takahata
Ciné goûter / Avant-première - mardi 21 octobre à 14h00
LE SECRET DES MÉSANGES de Antoine Lanciaux
Ciné Rock - mercredi 22 octobre à 20h30
SPRINGSTEEN : DELIVER ME FROM NOWHERE de Scott Cooper
Soirée L'homme qui rétrécit - vendredi 24 octobre à 20h00
L'HOMME QUI RÉTRÉCIT de Jan Kounen
L'HOMME QUI RÉTRÉCIT de Jack Arnold
Ciné Doc - lundi 27 octobre à 20h00
LE VIVANT QUI SE DÉFEND de Vincent Verzat
Ciné Goûter - mardi 28 octobre à 14h00
ARCO de Ugo Bienvenu
Plans Kids Halloween - vendredi 31 octobre à 14h00
LES NOCES FUNÈBRES de Tim Burton
Plans Cultes - vendredi 31 octobre à 20h00
PARANORMAL ACTIVITY de Oren Peli
REC de Jaume Balaguero & Paco Plaza
Ciné Doc - lundi 03 novembre à 20h00
LES ANTILLES EMPOISONNEES LA BANANE ET LE CHLORDECONE de Nicolas Glimois
Avant première / Rencontre - mardi 04 novembre à 20h00
KIKA de Alexe Poukine
Ciné Doc - jeudi 06 novembre à 14h00
LAZARE SILBERMANN de Benjamin Silvestre
Plans Cultes - mardi 18 novembre à 20h00
RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE de Steven Spielberg
Ciné Doc - lundi 15 décembre à 20h00
STUPS de Alice Odiot & Jean-Robert Viallet
Plans Cultes - mardi 13 janvier à 20h00
ORANGE MÉCANIQUE de Stanley Kubrick
Plans Cultes - samedi 14 février à 20h00
BODYGUARD de Mick Jackson
Plans Cultes - mardi 10 mars à 20h00
LE MAGNIFIQUE de Philippe de Broca
LE PROFESSIONNEL de Georges Lautner
Plans Cultes - mardi 07 avril à 20h00
L ÉTAIT UNE FOIS DANS L'OUEST de Sergio Leone
Plans Cultes - mardi 14 avril à 20h00
IL ÉTAIT UNE FOIS LA RÉVOLUTION de Sergio Leone
Plans Cultes - mardi 21 avril à 20h00
IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE de Sergio Leone
Plans Cultes - mardi 05 mai à 20h00
BOOGIE NIGHTS de Paul Thomas Anderson
A PROPOS
The Truman Show a séduit la critique lors de sa sortie en 1998, et il se revoit depuis avec plaisir : "Un film qui donne envie de se lever le matin et d'allumer le soleil, un film fort au questionnement universel ; qui du créateur ou de sa créature, du "père" ou du "fils", du geôlier ou du prisonnier, est le maître du jeu ? Le king of ce world ? Weir entretient d'autant mieux son suspense paradoxal qu'il utilise les recettes les plus putassières de la télé guimauve tout en en désignant les ficelles avec un cynisme paisible qui ne perd par son temps en moralisation convenue, en dénonciation des évidences. La meilleure preuve est qu'on s'attache autant à Ed Harris, tendre bourreau, qu'à Jim Carrey, naïf mais pas si niais, dans un rôle qui justifie ses grimaces autant qu'il les limite, bref qui utilise son incroyable énergie comique tout en prévenant l'exaspération qu'elle pouvait générer dans ses farces précédentes."
Première
Plans Cultes
mardi 16 décembre
à 20h00
SOIRÉE JIM CARREY
20h00 : THE TRUMAN SHOW de Peter Weir
22h00 : THE MASK de Chuck Russell
Tarif spécial soirée : 11€ les 2 films sinon tarifs habituels
THE TRUMAN SHOW
de Peter Weir
avec Jim Carrey, Laura Linney, Natascha McElhone
USA - 1998 - 1h43 - VOST - Réédition - Version restaurée 2K
Truman Burbank mène une vie calme et heureuse. Il habite dans un petit pavillon propret de la radieuse station balnéaire de Seahaven. Il part tous les matins à son bureau d'agent d'assurances dont il ressort huit heures plus tard pour regagner son foyer, savourer le confort de son habitat modèle, la bonne humeur inaltérable et le sourire mécanique de sa femme, Meryl. Mais parfois, Truman étouffe sous tant de bonheur et la nuit l'angoisse le submerge. Il se sent de plus en plus étranger, comme si son entourage jouait un rôle. Il se sent observé...
A PROPOS
The Truman Show a séduit la critique lors de sa sortie en 1998, et il se revoit depuis avec plaisir : "Un film qui donne envie de se lever le matin et d'allumer le soleil, un film fort au questionnement universel ; qui du créateur ou de sa créature, du "père" ou du "fils", du geôlier ou du prisonnier, est le maître du jeu ? Le king of ce world ? Weir entretient d'autant mieux son suspense paradoxal qu'il utilise les recettes les plus putassières de la télé guimauve tout en en désignant les ficelles avec un cynisme paisible qui ne perd par son temps en moralisation convenue, en dénonciation des évidences. La meilleure preuve est qu'on s'attache autant à Ed Harris, tendre bourreau, qu'à Jim Carrey, naïf mais pas si niais, dans un rôle qui justifie ses grimaces autant qu'il les limite, bref qui utilise son incroyable énergie comique tout en prévenant l'exaspération qu'elle pouvait générer dans ses farces précédentes."
Première
A PROPOS
Comédie « culte » qui révéla l’acteur Jim Carrey lors de sa sortie en 1994, The Mask a marqué plusieurs générations de spectateurs. Du célèbre Sssssplendid!! que répète inlassablement le personnage principal aux effets spéciaux inspirés de l’univers de Tex Avery, le film est un spectacle flamboyant, bourré de références cinématographiques et de répliques qui parodient plusieurs genres du cinéma américain (le film noir, notamment).
Dans la continuité de la thématique du masque, abordée avec La Belle et la bête (1946), The Mask constitue une autre piste de réflexion sur la figure du monstre, comme dédoublement de la personnalité (Docteur Jekyll et Mister Hyde) ou possibilité de révéler ses plus beaux et/ou ses plus bas instincts, sous une apparence trompeuse (le maquillage, les vêtements).
Peut-on, doit-on échapper à ce que l’on est profondément pour ressembler à une image rêvée ? The Mask apporte une réponse jubilatoire à ces questions, toujours aussi pertinentes à l’ère des réseaux sociaux.
Julien Morvan
THE MASK
de Chuck Russell
avec Jim Carrey, Cameron Diaz, Peter Greene
USA - 1994 - 1h40 - VOST - Réédition
A PROPOS
Comédie « culte » qui révéla l’acteur Jim Carrey lors de sa sortie en 1994, The Mask a marqué plusieurs générations de spectateurs. Du célèbre Sssssplendid!! que répète inlassablement le personnage principal aux effets spéciaux inspirés de l’univers de Tex Avery, le film est un spectacle flamboyant, bourré de références cinématographiques et de répliques qui parodient plusieurs genres du cinéma américain (le film noir, notamment).
Dans la continuité de la thématique du masque, abordée avec La Belle et la bête (1946), The Mask constitue une autre piste de réflexion sur la figure du monstre, comme dédoublement de la personnalité (Docteur Jekyll et Mister Hyde) ou possibilité de révéler ses plus beaux et/ou ses plus bas instincts, sous une apparence trompeuse (le maquillage, les vêtements).
Peut-on, doit-on échapper à ce que l’on est profondément pour ressembler à une image rêvée ? The Mask apporte une réponse jubilatoire à ces questions, toujours aussi pertinentes à l’ère des réseaux sociaux.
Julien Morvan
