ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

A PROPOS
Devenu un monument de la littérature, Les Misérables a su quitter son univers de papier pour mieux étendre ses horizons dans d’autres domaines, que ce soit le petit et le grand écran mais aussi sur les planches avec la fameuse comédie musicale multi-récompensée (près de cinquante prix dont deux Grammy Awards et deux Victoires de la Musique) qui depuis les années 80 se joue dans le monde entier. Une réinvention en chansons qui a d’ailleurs servi de base à la dernière adaptation en date du récit de Hugo au cinéma, qui s’est officié sous la houlette de Tom Hopper en 2012. Treize ans plus tard, la France reprend la main, avec Jean Valjean, qui va se concentrer avant tout sur cet anti-héros du roman et ce à partir de sa sortie du bagne de Toulon, à l’âge de quarante-six ans. Une étape clé de son existence, notre homme recouvrant la liberté avec le cœur empli de rancune pour une société qui lui a causé tant de mal
Mis en scène par Eric Besnard, dont le précédent film Louise Violet a connu un joli parcours en salles l’automne dernier, cette proposition sera portée par un fidèle du cinéaste, Grégory Gadebois, qui va prendre le relais de Jean Gabin, Lino Ventura et Jean-Paul Belmondo qui ont incarné Valjean pour Jean-Paul Le Chanois, Robert Hossein et Claude Lelouch sur grand écran. À ses côtés, nous retrouvons Bernard Campan (qui prête ses traits à Monseigneur Bienvenu) et Isabelle Carré (ici la soeur de l’évêque, Mademoiselle Baptistine) ainsi que Alexandra Lamy (qui interprète la gouvernante Madame Magloire).
Avant-première
dimanche 16 novembre
à 11h00
JEAN VALJEAN
de Eric Besnard
Avec Grégory Gadebois, Bernard Campan, Alexandra Lamy
FRANCE - 2025 - 1h28 - à partir de 8 ans
1815. Jean Valjean sort du bagne, brisé, rejeté de tous. Errant sans but, il trouve refuge chez un homme d’Église, sa sœur et leur servante. Face à cette main tendue, Jean Valjean vacille et, dans cette nuit suspendue, devra choisir qui il veut devenir.
A PROPOS
Devenu un monument de la littérature, Les Misérables a su quitter son univers de papier pour mieux étendre ses horizons dans d’autres domaines, que ce soit le petit et le grand écran mais aussi sur les planches avec la fameuse comédie musicale multi-récompensée (près de cinquante prix dont deux Grammy Awards et deux Victoires de la Musique) qui depuis les années 80 se joue dans le monde entier. Une réinvention en chansons qui a d’ailleurs servi de base à la dernière adaptation en date du récit de Hugo au cinéma, qui s’est officié sous la houlette de Tom Hopper en 2012. Treize ans plus tard, la France reprend la main, avec Jean Valjean, qui va se concentrer avant tout sur cet anti-héros du roman et ce à partir de sa sortie du bagne de Toulon, à l’âge de quarante-six ans. Une étape clé de son existence, notre homme recouvrant la liberté avec le cœur empli de rancune pour une société qui lui a causé tant de mal
Mis en scène par Eric Besnard, dont le précédent film Louise Violet a connu un joli parcours en salles l’automne dernier, cette proposition sera portée par un fidèle du cinéaste, Grégory Gadebois, qui va prendre le relais de Jean Gabin, Lino Ventura et Jean-Paul Belmondo qui ont incarné Valjean pour Jean-Paul Le Chanois, Robert Hossein et Claude Lelouch sur grand écran. À ses côtés, nous retrouvons Bernard Campan (qui prête ses traits à Monseigneur Bienvenu) et Isabelle Carré (ici la soeur de l’évêque, Mademoiselle Baptistine) ainsi que Alexandra Lamy (qui interprète la gouvernante Madame Magloire).