ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

BELLE - Mamoru Hosoda

A PROPOS

Mamoru Hosoda est décidément toujours là où on ne l’attendait pas. On s’était surpris de le voir marcher sur les platebandes du studio Ghibli avec Le Garçon et la Bête et Mirai ma petite sœur après ses rollercoasters temporels ou virtuels. Dans le cas de Belle, les signes annonciateurs d’un Summer Wars upgradé étaient si forts qu’on s’était déjà paré aux attentes, s’attendant à y retrouver les scènes et les composantes que le bonhomme avait déjà précédemment installé. On avait tout faux. Quand bien même il s’agit bel et bien d’un retour aux sources (tant thématique que graphique), quand bien même cette évocation utopiste des réseaux sociaux rejoint belle celle de Summer Wars, quand bien même l’univers virtuel donne ici l’impression d’avoir uniquement changé de nom (on est passé de « Oz » à « U »), le résultat laisse bouche bée, avec les yeux mouillés de larmes et les pupilles dilatées façon Cinémascope. De quoi ne pas faire mentir les rumeurs cannoises et surtout la très longue standing-ovation que le film a reçu cette année sur la Croisette. Et on envie déjà ceux qui savoureront ce choc massif sur le plus grand écran qui soit.

Guillaume Gas (leschroniquesdecliffhanger.com)

Avant-première
mercredi 22 décembre 2021 à 13h15


BELLE

de Mamoru Hosoda

Film d'animation
JAPON - 2021 - 2h01 - Version française

Dans la vie réelle, Suzu est une adolescente complexée, coincée dans sa petite ville de montagne avec son père. Mais dans le monde virtuel de U, Suzu devient Belle, une icône musicale suivie par plus de 5 milliards de followers. Une double vie difficile pour la timide Suzu, qui va prendre une envolée inattendue lorsque Belle rencontre la Bête, une créature aussi fascinante qu'effrayante. S'engage alors un chassé-croisé virtuel entre Belle et la Bête, au terme duquel Suzu va découvrir qui elle est.
https://www.dropbox.com/sh/opxzufap4iahfp7/AAA0PR3zez6AqczO9knU3L7Fa?dl=0

A PROPOS

Mamoru Hosoda est décidément toujours là où on ne l’attendait pas. On s’était surpris de le voir marcher sur les platebandes du studio Ghibli avec Le Garçon et la Bête et Mirai ma petite sœur après ses rollercoasters temporels ou virtuels. Dans le cas de Belle, les signes annonciateurs d’un Summer Wars upgradé étaient si forts qu’on s’était déjà paré aux attentes, s’attendant à y retrouver les scènes et les composantes que le bonhomme avait déjà précédemment installé. On avait tout faux. Quand bien même il s’agit bel et bien d’un retour aux sources (tant thématique que graphique), quand bien même cette évocation utopiste des réseaux sociaux rejoint belle celle de Summer Wars, quand bien même l’univers virtuel donne ici l’impression d’avoir uniquement changé de nom (on est passé de « Oz » à « U »), le résultat laisse bouche bée, avec les yeux mouillés de larmes et les pupilles dilatées façon Cinémascope. De quoi ne pas faire mentir les rumeurs cannoises et surtout la très longue standing-ovation que le film a reçu cette année sur la Croisette. Et on envie déjà ceux qui savoureront ce choc massif sur le plus grand écran qui soit.

Guillaume Gas (leschroniquesdecliffhanger.com)