ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

LE RÉPONDEUR - Soirée Rencontre - 2025-06-10

Soirée Rencontre - mardi 10 juin à 20h00

LE RÉPONDEUR de Fabienne Godet

SAUVE QUI PEUT - Ciné Doc - 2025-06-12

Ciné Doc - jeudi 12 juin à 20h00

SAUVE QUI PEUT de Alexe Poukine

SOUDAN, SOUVIENS-TOI - Ciné Doc - 2025-06-16

Ciné Doc - lundi 16 juin à 20h00

SOUDAN, SOUVIENS-TOI de Hind Meddeb

DE CHAQUE INSTANT - Ciné Doc - 2025-06-23

Ciné Doc - lundi 23 juin à 20h00

DE CHAQUE INSTANT de Nicolas Philibert

VALEUR SENTIMENTALE - Avant Première - 2025-06-26

Avant Première - jeudi 26 juin à 20h15

VALEUR SENTIMENTALE de Joachim Trier

ENZO - Ciné Cosy - 2025-06-27

Ciné Cosy - vendredi 27 juin à 13h15

ENZO de Laurent Cantet & Robin Campillo

VOYAGE AU PÔLE SUD - Luc Jacquet

A PROPOS

S’il ne fallait retenir qu’un mot pour décrire le dernier film de Luc Jacquet, réalisateur oscarisé de « La marche de l’Empereur », inattendu arriverait probablement en tête.
Ce grand spécialiste des films documentaires (« La glace et le ciel », « L’empereur ») mêle les genres. S’il reste dans cette veine documentaire, il signe ici un film très personnel. Mêlant éléments autobiographiques et récit de voyage, il nous entraîne à la poursuite de l’obsession de son réalisateur : le pôle Sud.
En partant des côtes déchiquetées de Patagonie, le cinéaste virtuose nous plonge peu à peu dans un univers de blanc, glaçant, inhospitalier et pourtant si attirant.
« Voyage au pôle Sud » est un puissant manifeste écologique, qui pourtant n’effleure qu’à peine ce thème. Un mélange d’images magnifiques de glaces, de manchots, de baleines, et de plans brouillés, inattendus et fantomatiques, que l’on dirait tout droit sortis d’un film d’auteur. Une ode à l’émotion, au ressenti, à l’inexplicable.
Luc Jacquet prend des risques avec ce film, tout en noir et blanc. Un choix délibéré « pour sortir du documentaire descriptif. Ce n’est pas un guide touristique, ce sont les vibrations de ce monde », résume le réalisateur.
Cette dernière ode en date au « septième continent » ne rencontrera probablement pas le succès populaire de « La marche de l’Empereur ». Plus sombre, parfois presque dérangeant, il se regarde peut-être mieux seul, face à ses émotions. Face aux plans vertigineux d’une silhouette perdue sur la glace. Face à l’obsession brûlante d’un homme pour l’immensité glacée, qui longtemps, nous attirera aussi.
Ouest-France / Jean-Marie CUNIN

Ciné Rencontre
lundi 29 avril 2024 à 20h00

En présence de Cyrille Aufort, compositeur de la musique originale

Séance présentée en audio description

Soirée organisée en collaboration avec la Fondation Visio et Premiers Plans


VOYAGE AU PÔLE SUD

de Luc Jacquet

Documentaire
FRANCE - 2023 - 1h27

En 1991, Luc Jacquet partait pour sa première mission en Antarctique. Trente ans plus tard, il revient là où tout a commencé pour lui. Une invitation au voyage au cœur d’une nature sauvage et grandiose qui n’a jamais cessé de fasciner les hommes et d’attirer les plus grands explorateurs.
https://www.memento.eu/voyage-au-pole-sud/

A PROPOS

S’il ne fallait retenir qu’un mot pour décrire le dernier film de Luc Jacquet, réalisateur oscarisé de « La marche de l’Empereur », inattendu arriverait probablement en tête.
Ce grand spécialiste des films documentaires (« La glace et le ciel », « L’empereur ») mêle les genres. S’il reste dans cette veine documentaire, il signe ici un film très personnel. Mêlant éléments autobiographiques et récit de voyage, il nous entraîne à la poursuite de l’obsession de son réalisateur : le pôle Sud.
En partant des côtes déchiquetées de Patagonie, le cinéaste virtuose nous plonge peu à peu dans un univers de blanc, glaçant, inhospitalier et pourtant si attirant.
« Voyage au pôle Sud » est un puissant manifeste écologique, qui pourtant n’effleure qu’à peine ce thème. Un mélange d’images magnifiques de glaces, de manchots, de baleines, et de plans brouillés, inattendus et fantomatiques, que l’on dirait tout droit sortis d’un film d’auteur. Une ode à l’émotion, au ressenti, à l’inexplicable.
Luc Jacquet prend des risques avec ce film, tout en noir et blanc. Un choix délibéré « pour sortir du documentaire descriptif. Ce n’est pas un guide touristique, ce sont les vibrations de ce monde », résume le réalisateur.
Cette dernière ode en date au « septième continent » ne rencontrera probablement pas le succès populaire de « La marche de l’Empereur ». Plus sombre, parfois presque dérangeant, il se regarde peut-être mieux seul, face à ses émotions. Face aux plans vertigineux d’une silhouette perdue sur la glace. Face à l’obsession brûlante d’un homme pour l’immensité glacée, qui longtemps, nous attirera aussi.
Ouest-France / Jean-Marie CUNIN