ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

A PROPOS
“Pour un film qui parle au moins en partie de musique, Deliver Me from Nowhere fait un bel usage du silence, notamment dans les moments où Springsteen perd l’inspiration et se retrouve à la dérive.”
Steve Pond, The Wrap
“Les films sur la dépression sont durs, mais les fans [de Springsteen] investis dans cette histoire de transition cathartique à la fois artistique et personnelle en auront pour leur argent.”
David Rooney, The Hollywood Reporter
“Même si le film n’atteint pas la virtuosité de l’album “Nebraska”, l’approche à rebrousse-poil de Cooper offre une parade rafraîchissante à la formule rabâchée du biopic musical, ainsi qu’une exploration sombre mais émouvante d’un artiste en crise.”
Will Mavity, Next Best Picture
“Cooper n’essaye pas de passer de la brosse à reluire. Il autorise cette superstar à être imparfaite et esquintée, mais pas d’une façon facile et mélodramatique, plutôt d’une façon qui permet de s’identifier et donne la force de croire en la possibilité de demander à se faire aider. Springsteen devient aussi brut et authentique que les personnages de ses chansons.”
Robert Daniels, RogerEbert.com
“Il y a un passage entre [Stephen] Graham et White, dans l’acte final, qui sera difficile à oublier. Un moment à la réalisation magistrale incarné avec la plus grande humanité possible. Si bien qu’il aurait presque fallu que le film se termine là-dessus.”
Gregory Elwood, The Playlist
“Cooper fait le choix très judicieux de s’attaquer à la légende de Bruce en se concentrant sur l’échelle humaine et les éléments concrets. Même si les spectateurs auront droit à quelques tubes, c’est le personnage qui reste la ligne de mire.”
Dan Mecca, The Film Stage
Ciné Rock
mercredi 22 octobre
à 20h30
présenté par Jérôme « Kalcha » Simonneau, journaliste musical
SPRINGSTEEN : DELIVER ME FROM NOWHERE
de Scott Cooper
Avec Jeremy Allen White, Jeremy Strong, Paul Walter Hauser
USA - 2025 - 2h00 - VOST
La genèse de l’album “Nebraska” au début des années 80, période au cours de laquelle le jeune musicien, sur le point d’accéder à une notoriété mondiale, lutte pour concilier les pressions du succès et les fantômes de son passé. Enregistré sur un magnétophone quatre pistes dans la chambre même de Bruce Springsteen dans le New-Jersey, « Nebraska » est un disque acoustique incontournable aussi brut qu’habité, peuplé d'âmes perdues à la recherche d'une raison de croire.
A PROPOS
“Pour un film qui parle au moins en partie de musique, Deliver Me from Nowhere fait un bel usage du silence, notamment dans les moments où Springsteen perd l’inspiration et se retrouve à la dérive.”
Steve Pond, The Wrap
“Les films sur la dépression sont durs, mais les fans [de Springsteen] investis dans cette histoire de transition cathartique à la fois artistique et personnelle en auront pour leur argent.”
David Rooney, The Hollywood Reporter
“Même si le film n’atteint pas la virtuosité de l’album “Nebraska”, l’approche à rebrousse-poil de Cooper offre une parade rafraîchissante à la formule rabâchée du biopic musical, ainsi qu’une exploration sombre mais émouvante d’un artiste en crise.”
Will Mavity, Next Best Picture
“Cooper n’essaye pas de passer de la brosse à reluire. Il autorise cette superstar à être imparfaite et esquintée, mais pas d’une façon facile et mélodramatique, plutôt d’une façon qui permet de s’identifier et donne la force de croire en la possibilité de demander à se faire aider. Springsteen devient aussi brut et authentique que les personnages de ses chansons.”
Robert Daniels, RogerEbert.com
“Il y a un passage entre [Stephen] Graham et White, dans l’acte final, qui sera difficile à oublier. Un moment à la réalisation magistrale incarné avec la plus grande humanité possible. Si bien qu’il aurait presque fallu que le film se termine là-dessus.”
Gregory Elwood, The Playlist
“Cooper fait le choix très judicieux de s’attaquer à la légende de Bruce en se concentrant sur l’échelle humaine et les éléments concrets. Même si les spectateurs auront droit à quelques tubes, c’est le personnage qui reste la ligne de mire.”
Dan Mecca, The Film Stage