BIENVENUE A GATTACA - Andrew Niccol

A PROPOS

Dans ce film d’anticipation, Andrew Niccol projette le spectateur dans une société où l’eugénisme est érigé en déterminisme absolu. Les êtres humains sont sélectionnés  avant leur naissance et programmés pour atteindre une perfection génétique sans faille. Pointe alors la croyance de tout maitriser : le corps et ce qui l’agite.
Vincent Freeman, « enfant du destin » conçu de manière naturelle est,  en raison de sa nature « invalide », confronté à une ségrégation radicale. Il est voué à vivre à l’écart de cette société qui ne voit que par le biologique. Pourtant, son rêve d’enfant de partir dans l’espace, va le conduire à suivre la voie de son désir. Devenu « dé-gène-éré », sa détermination le conduit à déjouer les lois de Gattaca, du tout savoir de la science.
Hameçonné à cette première phrase du film « il n’y a pas de gènes pour l’esprit humain », le spectateur est conduit à se questionner : où se loge le désir ?
Et c’est à partir du ratage et de ce qui échappe qu’une réponse s’insinue…
C’est dans la perspective de la réflexion sur le cerveau et l’inconscient, organisée par la psychanalyse d’orientation lacanienne que nous vous proposons cette soirée. 

Soirée rencontre
mardi 28 mai 2019 à 20h00

en présence de Mickael Peoc'h et Alexandra Boisseau-Marguerite, psychologues, membres de l’Association de la Cause Freudienne Val de Loire Bretagne


BIENVENUE A GATTACA

de Andrew Niccol

avec Ethan Hawke, Uma Thurman, Jude Law
USA - 1997 - 1h45 - VOST

Futur proche. La génétique n'a plus de secret pour les scientifiques qui peuvent orienter l'avenir de chacun dès la conception. Gattaca est un centre d'entraînement spatial pour les plus doués. Jerome a tout du candidat idéal mais un accident réduit son avenir à néant; Vincent, enfant naturel, rêve de l'espace. Vincent va alors devenir Jerome..

A PROPOS

Dans ce film d’anticipation, Andrew Niccol projette le spectateur dans une société où l’eugénisme est érigé en déterminisme absolu. Les êtres humains sont sélectionnés  avant leur naissance et programmés pour atteindre une perfection génétique sans faille. Pointe alors la croyance de tout maitriser : le corps et ce qui l’agite.
Vincent Freeman, « enfant du destin » conçu de manière naturelle est,  en raison de sa nature « invalide », confronté à une ségrégation radicale. Il est voué à vivre à l’écart de cette société qui ne voit que par le biologique. Pourtant, son rêve d’enfant de partir dans l’espace, va le conduire à suivre la voie de son désir. Devenu « dé-gène-éré », sa détermination le conduit à déjouer les lois de Gattaca, du tout savoir de la science.
Hameçonné à cette première phrase du film « il n’y a pas de gènes pour l’esprit humain », le spectateur est conduit à se questionner : où se loge le désir ?
Et c’est à partir du ratage et de ce qui échappe qu’une réponse s’insinue…
C’est dans la perspective de la réflexion sur le cerveau et l’inconscient, organisée par la psychanalyse d’orientation lacanienne que nous vous proposons cette soirée.