ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

FEMMES D'ARGENTINE - Juan Solanas

A PROPOS

«En Argentine, chaque semaine, une femme meurt à cause d’un avortement clandestin.» C’est le triste constat que dresse le réalisateur Juan Solanas dans son terrifiant documentaire. Le 13 juin 2018, la Chambre des députés adopte un projet de légalisation sur l’avortement, pourtant à ce jour, la loi n’a toujours pas été votée et l’IVG reste interdite en Argentine. Dans ce documentaire, politiques, militants, religieux et victimes parlent d’une réalité qui fait froid dans le dos. Juan Solanas s’abstient de porter un jugement sur les groupes qui s’affrontent parfois violemment dans les rues de Buenos Aires. En empathie, il écoute, observe et recueille les paroles en souffrance.

Ciné doc
lundi 19 octobre 2020 à 20h00

suivi d'une rencontre co-animée par le Planning Familial 49 et Amnesty International Angers


FEMMES D'ARGENTINE

de Juan Solanas

Documentaire
ARGENTINE - 2019 - 1h22 - VOST

En Argentine, où l'IVG est interdite, une femme meurt chaque semaine des suites d’un avortement clandestin. Pendant huit semaines, le projet a été âprement discuté au Sénat, mais aussi dans la rue, où des dizaines de milliers de militants ont manifesté pour défendre ce droit fondamental. Les féministes argentines et leur extraordinaire mobilisation ont fait naître l’espoir d’une loi qui légalise l’avortement.
https://www.destinydistribution.com/distribution/femmes-d-argentine-que-sea-ley/

A PROPOS

«En Argentine, chaque semaine, une femme meurt à cause d’un avortement clandestin.» C’est le triste constat que dresse le réalisateur Juan Solanas dans son terrifiant documentaire. Le 13 juin 2018, la Chambre des députés adopte un projet de légalisation sur l’avortement, pourtant à ce jour, la loi n’a toujours pas été votée et l’IVG reste interdite en Argentine. Dans ce documentaire, politiques, militants, religieux et victimes parlent d’une réalité qui fait froid dans le dos. Juan Solanas s’abstient de porter un jugement sur les groupes qui s’affrontent parfois violemment dans les rues de Buenos Aires. En empathie, il écoute, observe et recueille les paroles en souffrance.