ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES
A PROPOS
Pulp Fiction est typiquement le film que l’on peut revoir maintes et maintes fois avec toujours autant de plaisir, accompagné de cette impression de parcourir un assemblage de scènes cultes. Le métrage se paie ainsi le luxe d’être autant reconnu par les cinéphiles que par un public bien plus large, sa Palme d‘Or à Cannes en 1994 attestant du bon goût de certains jurys cannois (il faut dire que Clint Eastwood en était le président cette année là). Quentin Tarantino y définit clairement son style après avoir posé les bases avec Reservoir dogs deux ans plus tôt, même si les réfractaires ajouteront qu’il ne s’agit que d’une œuvre sous influence qui picore dans le patrimoine du septième art. Si cela est en partie vrai, quelle importance sachant qu’il se réclame lui-même de cette démarche? Devenu cinéaste, Tarantino demeure avant tout un cinéphile dans sa plus belle définition, il vit pour le cinéma et ses films ne parlent que de ça.
Avec ce chef-d’oeuvre, Tarantino assoit sa notoriété mondiale, Palme d’Or et Oscar du meilleur scénario original à l‘appui. Pulp Fiction reste l’œuvre culte d’un cinéaste qui avec ce second film aura marqué le septième art, devenant lui-même l’une des icônes de cette pop culture qu’il admire tant.
Plans Cultes
mardi 17 décembre
2019 à 20h00
PULP FICTION
de Quentin Tarantino
avec John Travolta, Samuel L. Jackson, Uma Thurman
USA - 1994 - 2h29 - VOST - Interdit aux moins de 12 ans
Los Angeles, la cité des anges... et du crime. Vincent Vega et Jules Winnfield sont les hommes de main de Marsellus Wallace, un caïd de la pègre. Ils sont chargés de récupérer une mystérieuse mallette, mais tout ne se passe pas comme prévu. Jules pense même à arrêter le métier, tandis que Vincent a pour délicate mission d'emmener danser la femme du patron sur ordre de ce dernier. Là encore, la soirée va déraper dangereusement. De son côté, Butch Coolidge est un boxeur à qui Wallace a proposé un match truqué. Entre remporter le jackpot et sauver son honneur, Butch réussit à tirer le meilleur parti de sa position. Mais il se retrouve avec la mafia aux trousses.
A PROPOS
Pulp Fiction est typiquement le film que l’on peut revoir maintes et maintes fois avec toujours autant de plaisir, accompagné de cette impression de parcourir un assemblage de scènes cultes. Le métrage se paie ainsi le luxe d’être autant reconnu par les cinéphiles que par un public bien plus large, sa Palme d‘Or à Cannes en 1994 attestant du bon goût de certains jurys cannois (il faut dire que Clint Eastwood en était le président cette année là). Quentin Tarantino y définit clairement son style après avoir posé les bases avec Reservoir dogs deux ans plus tôt, même si les réfractaires ajouteront qu’il ne s’agit que d’une œuvre sous influence qui picore dans le patrimoine du septième art. Si cela est en partie vrai, quelle importance sachant qu’il se réclame lui-même de cette démarche? Devenu cinéaste, Tarantino demeure avant tout un cinéphile dans sa plus belle définition, il vit pour le cinéma et ses films ne parlent que de ça.
Avec ce chef-d’oeuvre, Tarantino assoit sa notoriété mondiale, Palme d’Or et Oscar du meilleur scénario original à l‘appui. Pulp Fiction reste l’œuvre culte d’un cinéaste qui avec ce second film aura marqué le septième art, devenant lui-même l’une des icônes de cette pop culture qu’il admire tant.