UN BEAU MATIN - Mia Hansen-Løve

A PROPOS

Mia Hansen-Løve : "Après Bergman Island, UN BEAU MATIN s’est imposé à moi. Durant l’hiver 2019-2020, j’ai écrit ce scénario en partie inspiré de la maladie de mon père alors qu’il était encore en vie. Je cherchais à donner un sens à ce que je traversais. Et je voulais explorer la façon dont peuvent dialoguer deux sentiments opposés, un deuil et une renaissance, le fait de les éprouver simultanément. Même si elle est tourmentée, l’histoire entre Sandra et Clément est surtout une joie. Avec son père, ce n’est que souffrance. Les deux récits cohabitent. Cela m’intéressait de trouver une forme cinématographique pour donner à voir cette coexistence. Comme beaucoup, j’ai été marquée par l’essai de Virginia Woolf (Une chambre à soi). La conquête d’un espace à soi qui permette d’écrire, de penser, de rêver, ou juste d’être seul, m’a toujours semblé essentielle."

Avant-première
samedi 27 août 2022 à 20h30

Séance présentée et suivie d'une rencontre avec Mia Hansen-Løve

Le film a été présenté cette année à Cannes, à la Quinzaine des réalisateurs

Soirée organisée en partenariat avec le Festival Premiers Plans


UN BEAU MATIN

de Mia Hansen-Løve

avec Léa Seydoux, Pascal Greggory, Melvil Poupaud
FRANCE - 2022 - 1h52 - Label Europa Cinema Cannes 2022

Sandra, jeune mère qui élève seule sa fille, rend souvent visite à son père malade, Georg. Alors qu'elle s'engage avec sa famille dans un parcours du combattant pour le faire soigner, Sandra fait la rencontre de Clément, un ami perdu de vue depuis longtemps...

https://filmsdulosange.com/film/un-beau-matin/

A PROPOS

Mia Hansen-Løve : "Après Bergman Island, UN BEAU MATIN s’est imposé à moi. Durant l’hiver 2019-2020, j’ai écrit ce scénario en partie inspiré de la maladie de mon père alors qu’il était encore en vie. Je cherchais à donner un sens à ce que je traversais. Et je voulais explorer la façon dont peuvent dialoguer deux sentiments opposés, un deuil et une renaissance, le fait de les éprouver simultanément. Même si elle est tourmentée, l’histoire entre Sandra et Clément est surtout une joie. Avec son père, ce n’est que souffrance. Les deux récits cohabitent. Cela m’intéressait de trouver une forme cinématographique pour donner à voir cette coexistence. Comme beaucoup, j’ai été marquée par l’essai de Virginia Woolf (Une chambre à soi). La conquête d’un espace à soi qui permette d’écrire, de penser, de rêver, ou juste d’être seul, m’a toujours semblé essentielle."