ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

DE CHAQUE INSTANT - Ciné Doc - 2025-06-23

Ciné Doc - lundi 23 juin à 20h00

DE CHAQUE INSTANT de Nicolas Philibert

VALEUR SENTIMENTALE - Avant Première - 2025-06-26

Avant Première - jeudi 26 juin à 20h15

VALEUR SENTIMENTALE de Joachim Trier

ENZO - Ciné Cosy - 2025-06-27

Ciné Cosy - vendredi 27 juin à 13h15

ENZO de Laurent Cantet & Robin Campillo

I LOVE PERU - Ciné Cosy - 2025-07-11

Ciné Cosy - vendredi 11 juillet à 13h15

I LOVE PERU de Hugo David & Raphaël Quenard

LA JEUNE FILLE ET SON AIGLE - Otto Bell

A PROPOS

En voilà un joli documentaire sur une jeune fille qui rêve de devenir chasseur à l’aigle dans un pays où la tradition est forte et où cela semble impossible.

La jeune fille et son aigle aborde plusieurs thématiques, et ce,  de manière très intelligente, sans jamais user du forcing tout en offrant aux spectateurs la découverte d’un art, d’une culture et d’un peuple d’humains incroyables.

Ainsi, le film dresse dans un premier temps le rêve de cette jeune fille tout en nous montrant le parcours oh combien difficile qu’elle doit entreprendre pour y parvenir. Ce parcours nous permet de découvrir la chasse à l’aigle, le festival très populaire en Mongolie et surtout la chasse en condition réelle dans ce froid insoutenable. Mais très vite on se rend compte qu’au-delà de suivre le parcours de cette jeune fille, c’est avant tout l’histoire d’amour d’un père pour celle-ci (et réciproquement) qui se dévoile sur l’écran. Une histoire touchante d’autant que ce père joue gros en éduquant sa fille le mieux possible avec pour unique mission que de lui permettre de vivre son rêve malgré les réticences des anciens ancrés dans la tradition.

Concernant la réalisation du film, les images sont splendides et les décors mongoles superbement mis en lumière. Que ce soit les longues vallées enneigées ou le décor du festival, chaque plan du film est un émerveillement pour nos yeux. Il en va de même pour nos oreilles gratifiées d’une bande originale soignée du début à la fin et ce jusqu’au générique final interprété par Sia qui délivre ici l’une de ses plus belles chansons.

Ciné Ma Différence
dimanche 23 avril 2017 à 11h15

Séance ouverte à tous et adaptée pour enfants et adultes handicapés.
Tarif : 4,80 euros (- de 14 ans 4 euros)

Séance organisée en collaboration avec les associations Ciné ma différence, Autisme 49 et Les copains d'Elsa


LA JEUNE FILLE ET SON AIGLE

de Otto Bell

avec Aisholpan Nurgaiv, Nurgaiv Rys
MONGOLIE - 2016 - 1h27 - version française

Dresseur d'aigles, c'est un métier d'hommes en Mongolie.
Depuis l'enfance, Aisholpan assiste son père qui entraîne les aigles.
L'année de ses 13 ans, elle décide, avec la complicité de son père, d'adopter un aigle pour en faire un chasseur de renards.
Parviendra-t-elle à briser les traditions et à se faire accepter par les anciens du village ? 
http://www.arpselection.com/category/tous-nos-films/documentaire/la-jeune-fille-et-son-aigle-368.html#bande-annonce

A PROPOS

En voilà un joli documentaire sur une jeune fille qui rêve de devenir chasseur à l’aigle dans un pays où la tradition est forte et où cela semble impossible.

La jeune fille et son aigle aborde plusieurs thématiques, et ce,  de manière très intelligente, sans jamais user du forcing tout en offrant aux spectateurs la découverte d’un art, d’une culture et d’un peuple d’humains incroyables.

Ainsi, le film dresse dans un premier temps le rêve de cette jeune fille tout en nous montrant le parcours oh combien difficile qu’elle doit entreprendre pour y parvenir. Ce parcours nous permet de découvrir la chasse à l’aigle, le festival très populaire en Mongolie et surtout la chasse en condition réelle dans ce froid insoutenable. Mais très vite on se rend compte qu’au-delà de suivre le parcours de cette jeune fille, c’est avant tout l’histoire d’amour d’un père pour celle-ci (et réciproquement) qui se dévoile sur l’écran. Une histoire touchante d’autant que ce père joue gros en éduquant sa fille le mieux possible avec pour unique mission que de lui permettre de vivre son rêve malgré les réticences des anciens ancrés dans la tradition.

Concernant la réalisation du film, les images sont splendides et les décors mongoles superbement mis en lumière. Que ce soit les longues vallées enneigées ou le décor du festival, chaque plan du film est un émerveillement pour nos yeux. Il en va de même pour nos oreilles gratifiées d’une bande originale soignée du début à la fin et ce jusqu’au générique final interprété par Sia qui délivre ici l’une de ses plus belles chansons.