ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

LA BONNE ÉPOUSE - Martin Provost

A PROPOS

Septembre 1967. Paulette Van der Beck, madame la directrice de l’École ménagère de Boersch, en Alsace, accueille ses nouvelles recrues : des jeunes filles de bonne famille ou de milieu modeste qui, une année durant, vont apprendre les bonnes manières pour tenir leur foyer et devenir les meilleures des épouses : discrètes, soumises, entièrement dévouées à la carrière et au confort de leur mari. Mais en cette période où « la France s’ennuie » (disait Pierre Viansson-Ponté dans un éditorial du Monde resté célèbre), le vent de la contestation de Mai 68 va bientôt souffler dans les murs de la vénérable institution patriarcale…

Comme Séraphine ou Violette, le nouveau film de Martin Provost est une affaire de femmes. Mais dans un registre plus léger, et plus enjoué : La Bonne Épouse (qui sortira en salles le 11 mars) est une comédie, un feel good movie plein de couleurs et de fantaisie où le réalisateur de Sage Femme, qu’on ne soupçonnait pas aussi audacieux, s’autorise même une savoureuse séquence de comédie musicale. Juliette Binoche semble s’être beaucoup amusée à composer son personnage de grande bourgeoise en voie d’émancipation, et Noémie Lvovsky est irrésistible en religieuse qui mène ses troupes à la baguette.

Avant-première / Festival Télérama
samedi 1 février 2020 à 11h00

3,50 euros la place sur présentation du pass Télérama valable pour 2 personnes

(Télérama des 8 et 15 janvier 2020)


LA BONNE ÉPOUSE

de Martin Provost

Juliette Binoche, Yolande Moreau, Noémie Lvovsky
FRANCE - 2020 - 1h48

Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c’est ce qu’enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée. Est-ce le retour de son premier amour ou le vent de liberté de mai 68 ? Et si la bonne épouse devenait une femme libre ?
http://distribution.memento-films.com/film/infos/103

A PROPOS

Septembre 1967. Paulette Van der Beck, madame la directrice de l’École ménagère de Boersch, en Alsace, accueille ses nouvelles recrues : des jeunes filles de bonne famille ou de milieu modeste qui, une année durant, vont apprendre les bonnes manières pour tenir leur foyer et devenir les meilleures des épouses : discrètes, soumises, entièrement dévouées à la carrière et au confort de leur mari. Mais en cette période où « la France s’ennuie » (disait Pierre Viansson-Ponté dans un éditorial du Monde resté célèbre), le vent de la contestation de Mai 68 va bientôt souffler dans les murs de la vénérable institution patriarcale…

Comme Séraphine ou Violette, le nouveau film de Martin Provost est une affaire de femmes. Mais dans un registre plus léger, et plus enjoué : La Bonne Épouse (qui sortira en salles le 11 mars) est une comédie, un feel good movie plein de couleurs et de fantaisie où le réalisateur de Sage Femme, qu’on ne soupçonnait pas aussi audacieux, s’autorise même une savoureuse séquence de comédie musicale. Juliette Binoche semble s’être beaucoup amusée à composer son personnage de grande bourgeoise en voie d’émancipation, et Noémie Lvovsky est irrésistible en religieuse qui mène ses troupes à la baguette.