ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES
Ciné Doc - lundi 23 juin à 20h00
DE CHAQUE INSTANT de Nicolas Philibert
Ciné Rock / Autour de Levitation - mardi 24 juin à 20h00
ROCK BOTTOM de María Trénor
Avant Première - jeudi 26 juin à 20h15
VALEUR SENTIMENTALE de Joachim Trier
Ciné Cosy - vendredi 27 juin à 13h15
ENZO de Laurent Cantet & Robin Campillo
Avant première / Rencontre - mercredi 02 juillet à 20h00
LES TOURMENTÉS de Lucas Belvaux
Séance spéciale - vendredi 04 juillet à 20h00
PRIMITIFS de David & Nathan Zellner
Ciné Cosy - vendredi 11 juillet à 13h15
I LOVE PERU de Hugo David & Raphaël Quenard
A PROPOS
C'est au réalisateur allemand Florian Henckel von Donnersmarck que l'on doit cette « Œuvre » en deux parties, l'homme qui nous avait sidérés en 2007 avec « La Vie des autres », déjà une histoire se déroulant en RDA, récompensé de l'Oscar et du César du meilleur film étranger. Avec « L'Œuvre sans auteur », le cinéaste frappe encore plus fort, en mêlant, une fois de plus, la grande et la petite Histoire, les passés familiaux tragiques de Kurt et Ellie et les grands chambardements qui ont secoué l'Allemagne entre les années 1930 et 70.
Le Parisien
Ciné Fac
dimanche 15 mars
2020 à 19h30
présenté par Andrea Brünig, maitresse de conférences au département d'allemand à l'Université d'Angers
Tarif Printemps du cinéma : 4€ la place soit 8€ les 2 films
Séance organisée en collaboration avec l'Université d'Angers et Cinéma Parlant dans le cadre de la semaine de cinéma de langue allemande
L'OEUVRE SANS AUTEUR - PARTIE 1
de Florian Henckel von Donnersmarck
avec Tom Schilling, Sebastian Koch, Paula Beer
ALLEMAGNE - 2018 - 1h31 - VOST
À Dresde en 1937, le tout jeune Kurt Barnet visite, grâce à sa tante Elisabeth, l'exposition sur "l'art dégénéré" organisée par le régime nazi. Il découvre alors sa vocation de peintre.
Dix ans plus tard en RDA, étudiant aux Beaux-arts, Kurt peine à s'adapter aux diktats du « réalisme socialiste ». Tandis qu'il cherche sa voix et tente d'affirmer son style, il tombe amoureux d'Ellie. Mais Kurt ignore que le père de celle-ci, le professeur Seeband, médecin influent, est lié à lui par un terrible passé.
Epris d'amour et de liberté, ils décident de passer à l'Ouest…
http://www.arpselection.com/laffaire-collini-483.html#team
A PROPOS
C'est au réalisateur allemand Florian Henckel von Donnersmarck que l'on doit cette « Œuvre » en deux parties, l'homme qui nous avait sidérés en 2007 avec « La Vie des autres », déjà une histoire se déroulant en RDA, récompensé de l'Oscar et du César du meilleur film étranger. Avec « L'Œuvre sans auteur », le cinéaste frappe encore plus fort, en mêlant, une fois de plus, la grande et la petite Histoire, les passés familiaux tragiques de Kurt et Ellie et les grands chambardements qui ont secoué l'Allemagne entre les années 1930 et 70.
Le Parisien
A PROPOS
L’œuvre sans auteur est un film brillant et intelligent, qui donne la part belle à l’acte de création. Les peintures que le jeune Kurt exécute devant le spectateur sont d’une incroyable beauté, au point que l’on se demande, pendant tout le film, s’il s’agit de la reconstitution de la vie d’un peintre réel, dont les œuvres auraient été retrouvées. On ne saura pas, mais peu importe. Il y a la démonstration que l’art sauve de tout, même de la peur et de la bêtise.
avoir-alire.com
L'OEUVRE SANS AUTEUR - PARTIE 2
de Florian Henckel von Donnersmarck
avec Tom Schilling, Sebastian Koch, Paula Beer
ALLEMAGNE - 2018 - 1h39 - VOST
Désormais installés en RFA, Kurt et Ellie tentent de se reconstruire loin de leur famille, tout en découvrant les joies de la liberté à l'Ouest. Accepté dans une prestigieuse école d'art berlinoise où il n'est plus contraint aux diktats du « réalisme socialiste », Kurt s'épanouit et affirme son style jusqu'à en repousser les limites. Mais la pratique de son art fait remonter en lui des souvenirs d'enfance longtemps enfouis qui lui révèlent le terrible passé qui le lie au père d'Ellie, le professeur Seeband.
A PROPOS
L’œuvre sans auteur est un film brillant et intelligent, qui donne la part belle à l’acte de création. Les peintures que le jeune Kurt exécute devant le spectateur sont d’une incroyable beauté, au point que l’on se demande, pendant tout le film, s’il s’agit de la reconstitution de la vie d’un peintre réel, dont les œuvres auraient été retrouvées. On ne saura pas, mais peu importe. Il y a la démonstration que l’art sauve de tout, même de la peur et de la bêtise.
avoir-alire.com
