ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

A PROPOS
Luis Buñuel reconnaissait que la découverte freudienne lui avait beaucoup apporté dans sa jeunesse. Il fut admis au sein du mouvement surréaliste en 1929 avec son premier film Un chien andalou, réalisé avec Salvador Dali.
En 1953, à partir d’un roman, il réalise le film Él qui montre très précisément le développement d’une paranoïa et d’un délire de jalousie chez un homme tombé soudain follement amoureux. Buñuel écrit : « Lacan vit le film au cours d’une projection organisée pour cinquante-deux psychiatres à la cinémathèque. Il me parla longuement du film, dans lequel il reconnaissait l’accent de vérité, et il le présenta à ses élèves en diverses occasions ». (Mon dernier soupir, 1982)
Suivons donc ce qu’indiquait déjà Freud, laissons-nous enseigner par les œuvres d’art.
Membres de l’Association de la Cause Freudienne au Mans, Elisabeth Marion et Yohan Trichet y organisent régulièrement des soirées cinéma-psychanalyse. Ils viennent d’écrire un article : « Ce que nous apprend Él de Buñuel sur l’économie de la jouissance dans la paranoïa » (Cliniques méditerranéennes, 2012).
Cinéma et psychanalyse
jeudi 29 novembre
2012 à 20h15
suivi d'une rencontre avec Louis Mathieu, enseignant en cinéma et président de Cinéma Parlant, Elisabeth Marion, psychanalyste au Mans et Yohan Trichet, psychologue, docteur en psychologie
soirée organisée en collaboration avec Cinéma Parlant et l'AFCV (association de la Cause Freudienne Val de Loire Bretagne)
EL
de Luis Buñuel
avec Arturo de Cordova, Delia Garces, Luis Beristain...
Mexique - 1952 - 1h32 - version originale sous titrée
La jeune Gloria rencontre par hasard le riche Fanscisco Galván à la messe. Il tombe amoureux d’elle et la convainc de l’épouser rapidement. Elle ne tarde pas à découvrir, dès le voyage de noces, qu’il est atteint d’une jalousie maladive...
A PROPOS
Luis Buñuel reconnaissait que la découverte freudienne lui avait beaucoup apporté dans sa jeunesse. Il fut admis au sein du mouvement surréaliste en 1929 avec son premier film Un chien andalou, réalisé avec Salvador Dali.
En 1953, à partir d’un roman, il réalise le film Él qui montre très précisément le développement d’une paranoïa et d’un délire de jalousie chez un homme tombé soudain follement amoureux. Buñuel écrit : « Lacan vit le film au cours d’une projection organisée pour cinquante-deux psychiatres à la cinémathèque. Il me parla longuement du film, dans lequel il reconnaissait l’accent de vérité, et il le présenta à ses élèves en diverses occasions ». (Mon dernier soupir, 1982)
Suivons donc ce qu’indiquait déjà Freud, laissons-nous enseigner par les œuvres d’art.
Membres de l’Association de la Cause Freudienne au Mans, Elisabeth Marion et Yohan Trichet y organisent régulièrement des soirées cinéma-psychanalyse. Ils viennent d’écrire un article : « Ce que nous apprend Él de Buñuel sur l’économie de la jouissance dans la paranoïa » (Cliniques méditerranéennes, 2012).