LA NUIT VENUE ON Y VERRA PLUS CLAIR - Marion Delpech

A PROPOS

Depuis plusieurs années, différents milieux culturels et plus largement sociaux, dévoilent une face cachée pourtant bien ancrée : celles des scandales moraux et sexuels, particulièrement envers les femmes et les minorités. En partant de ce postulat, l’équipe de « La Nuit venue, on y verra plus clair » a souhaité developper une série documentaire en deux parties portant sur les différentes problématiques liées au sexisme et à l’insécurité dans le milieu des musiques électroniques underground françaises. À l’aide d’un double prisme, la première partie se positionne sur l’insécurité au sein des soirées et des festivals - la deuxième porte sur les difficultés rencontrées par les femmes travaillant dans ce milieu (en tant qu’artistes, bookeuses, techniciennes, etc…). Le projet est donc constitué d’une sélection de passages issus d’un corpus d’entretiens, réalisé durant presque deux ans avec la participation de nombreux·euses acteurs·trice·s du milieu, ainsi que de membres du public. Les entretiens abordent l’ensemble des problématiques actuelles, afin de réaliser un état des lieux sur la situation en 2021, à l’heure où la fête est à l’arrêt. Ces entretiens questionnent les genres, l’intersectionnalité, tout en offrant des expériences, des perspectives, des idées et des éléments de solutions pour le « monde de demain » Au fil des passages d’entretiens, le documentaire présente également un récit fictif à l’image, centré sur une jeune femme se rendant en soirée dans un club. Les images permettent alors d’entrer en écho avec les interviews et donnent aux spectateur·trice·s un moyen de s’identifier.

Ciné Doc
vendredi 26 novembre 2021 à 19h00

Rencontre animée par Maud Raffray, activatrice d’égalité femmes-hommes, en présence de Marion Delpech, réalisatrice, et un membre du média Le Bruit de fond

Soirée organisée en collaboration avec le Chabada dans le cadre de « Episcène: promotion de l'égalité Femme Homme dans les musiques actuelles ».


LA NUIT VENUE ON Y VERRA PLUS CLAIR

de Marion Delpech

Documentaire
FRANCE - 2021 - 1h30

Alors que les voix ne cessent de s’élever notamment grâce aux mouvements #MeToo, Balance ton Porc et le plus récent MusicToo, Le Bruit de Fond en collaboration avec PWFM, se sont penchés sur la question de la place des femmes dans la musique électronique. Réelle cause sociétale, ce documentaire confronte les points de vue et expériences entre toutes les strates qui font cette scène, du public aux actif·tive·s de la nuit, qu’ielles soient de l’ombre ou sur scène.

A PROPOS

Depuis plusieurs années, différents milieux culturels et plus largement sociaux, dévoilent une face cachée pourtant bien ancrée : celles des scandales moraux et sexuels, particulièrement envers les femmes et les minorités. En partant de ce postulat, l’équipe de « La Nuit venue, on y verra plus clair » a souhaité developper une série documentaire en deux parties portant sur les différentes problématiques liées au sexisme et à l’insécurité dans le milieu des musiques électroniques underground françaises. À l’aide d’un double prisme, la première partie se positionne sur l’insécurité au sein des soirées et des festivals - la deuxième porte sur les difficultés rencontrées par les femmes travaillant dans ce milieu (en tant qu’artistes, bookeuses, techniciennes, etc…). Le projet est donc constitué d’une sélection de passages issus d’un corpus d’entretiens, réalisé durant presque deux ans avec la participation de nombreux·euses acteurs·trice·s du milieu, ainsi que de membres du public. Les entretiens abordent l’ensemble des problématiques actuelles, afin de réaliser un état des lieux sur la situation en 2021, à l’heure où la fête est à l’arrêt. Ces entretiens questionnent les genres, l’intersectionnalité, tout en offrant des expériences, des perspectives, des idées et des éléments de solutions pour le « monde de demain » Au fil des passages d’entretiens, le documentaire présente également un récit fictif à l’image, centré sur une jeune femme se rendant en soirée dans un club. Les images permettent alors d’entrer en écho avec les interviews et donnent aux spectateur·trice·s un moyen de s’identifier.