ON REVIENT DE LOIN -  Pierre Carles & Nina Faure

A PROPOS

Quelle alternative économique au modèle néolibéral, qui prévaut dans la plupart des démocraties aujourd'hui ? Aucune, répondent en choeur les politiques résignés et les médias aux ordres. Pourtant, en Equateur, depuis 2007, le gouvernement de Rafael Correa refuse de payer une partie de la dette publique et a mis en place une politique de redistribution qui a permis de réduire fortement les inégalités. Pour se faire une idée précise de cette « révolution citoyenne », et après avoir suivi Correa dans sa tournée européenne (Les ânes ont soif : Opération Correa 1), les réalisateurs se rendent sur place. Etonnés par la personnalité et les positions contradictoires (notamment anti-IVG) du président socialiste, ils intègrent leurs doutes au film, en voix off, et signent un exercice convaincant de documentaire dialectique.
Jérémie Couston (Télérama)

Ciné doc
jeudi 12 janvier 2017 à 20h15

en présence de Pierre Carles, réalisateur

Soirée organisée en collaboration avec l'association Terre Ouverte


ON REVIENT DE LOIN

de Pierre Carles & Nina Faure

Documentaire
France - 2016 - 1h41 - VOST

Depuis 2007 en Équateur, le gouvernement de Rafael Correa a refusé de payer une partie de la dette publique, récupéré la souveraineté sur ses ressources naturelles face aux multinationales. Grâce à des politiques de redistribution, la pauvreté et les inégalités ont baissé fortement tandis que la classe moyenne a doublé en huit ans. Pierre Carles, Nina Faure et leur équipe débarquent tout feu tout flamme dans ce nouvel Eldorado. Mais, à leur arrivée, les rues s'embrasent. En sillonnant le pays en ébullition, nos deux réalisateurs tirent des leçons parfois opposées : l'un voudrait que Correa vienne retaper la France, l'autre s'interroge sur la nécessité d’un homme providentiel.
http://www.pierrecarles.org/On-revient-de-loin

A PROPOS

Quelle alternative économique au modèle néolibéral, qui prévaut dans la plupart des démocraties aujourd'hui ? Aucune, répondent en choeur les politiques résignés et les médias aux ordres. Pourtant, en Equateur, depuis 2007, le gouvernement de Rafael Correa refuse de payer une partie de la dette publique et a mis en place une politique de redistribution qui a permis de réduire fortement les inégalités. Pour se faire une idée précise de cette « révolution citoyenne », et après avoir suivi Correa dans sa tournée européenne (Les ânes ont soif : Opération Correa 1), les réalisateurs se rendent sur place. Etonnés par la personnalité et les positions contradictoires (notamment anti-IVG) du président socialiste, ils intègrent leurs doutes au film, en voix off, et signent un exercice convaincant de documentaire dialectique.
Jérémie Couston (Télérama)