ACTUELLEMENT

Semaine du 28 mai au 3 juin
THE PHOENICIAN SCHEME
de Wes Anderson
HOT MILK
de Rebecca Lenkiewicz
CHIME
de Kiyoshi Kurosawa
PARTIR UN JOUR
de Amélie Bonnin
LA VENUE DE L'AVENIR
de Cédric Klapisch
LES MUSICIENS
de Grégory Magne
JEUNES MÈRES
de Jean Pierre & Luc Dardenne
TU NE MENTIRAS POINT
de Tim Mielants
LA CHAMBRE DE MARIANA
de Emmanuel Finkiel
OLLIE
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À BICYCLETTE !
de Mathias Mlekuz
LIBERTATE
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LES MAUDITES
de Pedro Martín-Calero
UN MONDE MERVEILLEUX
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FANON
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MARCO, L'ÉNIGME D'UNE VIE
de Aitor Arregi & Jon Garaño
LILI MARLEEN
de Rainer Werner Fassbinder
GOSSES DE TOKYO
de Yasujiro Ozu
LE PEUPLE MIGRATEUR
de Jacques Perrin
NOUVEAUTE
affiche CHIME Kiyoshi Kurosawa

CHIME

de Kiyoshi Kurosawa

JAPON - 2024 - 0h45 - version originale sous-titrée

Avec Mutsuo Yoshioka, Seiichi Kohinata, Tomoko Tabata...

Interdit - 12 ans


Mer 28 Jeu 29 Ven 30 Sam 31 Dim 1 Lun 2 Mar 3
19:00*accessible aux personnes à mobilité réduites
22:10
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* Séance accessible aux personnes à mobilité réduite

Tashiro entend un carillon que personne d'autre n'entend.
Le “Chime”résonne.
Il affirme qu'une machine s'est greffée à son cerveau.
Le “Chime” résonne. Encore.
Matsuoka, son professeur de cuisine, tente de l'aider.
Le “Chime” résonne. Plus fort.
Tashiro se saisit d'un couteau.

Filmographie : "Kaïro", "Charisma", "Cure"...

NOTE DES SPECTATEURS

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Moyenne : 5,1/10 (8 spectateurs)

SUR LA TOILE

Deux films de Kiyoshi Kurosawa sortent coup sur coup, dans lesquels il réifie toutes les peurs et névroses de l'époque. Le premier : le moyen-métrage CHIME.
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En partant d'une folie dont ne peut sortir son personnage et en ayant recours aux ellipses, Kiyoshi Kurosawa (décidément ultra- actif car de nouveau présent en salles le 5 juin avec Cloud) convoque les fantômes de ses films passés tout en offrant à son récit une absence de résolution terrifiante. Avec du neuf, il continue de faire comme avant : ceci s'appelle une (jolie) impasse.
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LA PRESSE

L'OBS
Le réalisateur de « Kaïro » distille l'angoisse et le trouble dans un petit film en forme de haïku
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LE MONDE
La violence qui surgit dans Chime n'est finalement que l'expression d'une artificialité ontologiquement scandaleuse, celle caractérisant le lien qui unit maître et élève, tel qu'il s'actualise dans les cours professés par Matsuoka, ou celui unissant aussi le salarié et son employeur, tel qu'il se met en scène dans ses entretiens d'embauche.
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LES INROCKUPTIBLES
Le Japonais renoue avec les grandes heures de son cinéma et parvient à traduire le mal-être social contemporain et ses affres existentielles avec une précision saisissante.
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TÉLÉRAMA
Un moyen métrage qui a l'art de faire monter la tension sans esbroufe.
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CRITIKAT
Plus énigmatique que Kairo (le film de Kurosawa auquel on pense le plus ici), Chime vaut surtout pour ses expérimentations formelles et sa manière de figurer le surgissement du mal.
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