ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

A PROPOS
Une histoire (authentique) absolument dingue : Stella Goldschlag, chanteuse de jazz dans le Berlin de la fin des années 1930, juive (mais blonde aux yeux bleus), survit sous le régime nazi – à condition de dénoncer les juifs clandestins. Torturée, elle se soumet. Après la guerre, détention en URSS, avenir fracassé, culpabilité terrible (plusieurs centaines de juifs ont été tués à cause d’elle), et, enfin, suicide en 1994.
Kilian Riedhof (« Vous n’aurez pas ma haine ») interroge le spectateur : qu’auriez-vous fait, à la place de Stella ? Et comment ne pas s’inquiéter, aujourd’hui, devant la montée de l’extrême droite ? Avec finesse, le cinéaste ne condamne pas. Mais fait de son film une arme : cette histoire, si terrible, ne révèle-t-elle pas une part de notre humanité ? Stella n’est-elle pas la dernière victime d’Hitler ? Un film impressionnant.
François Forestier (L'OBS)
Présentation de la semaine allemande
mercredi 3 avril
2024 à 20h00
Présentation de la semaine par Brigitte Dubois et Sandrine Roue, enseignantes en allemand
Séance organisée en collaboration avec l'Université d'Angers et Cinéma Parlant dans le cadre de la semaine de cinéma de langue allemande
STELLA, UNE VIE ALLEMANDE
de Kilian Riedhof
avec Paula Beer, Jannis Niewöhner, Katja Riemann
ALLEMAGNE - 2023 - 2h01 - Version originale sous titrée
Inspiré de la véritable histoire de Stella Goldschlag.
https://kinovista.com/film/stella/
A PROPOS
Une histoire (authentique) absolument dingue : Stella Goldschlag, chanteuse de jazz dans le Berlin de la fin des années 1930, juive (mais blonde aux yeux bleus), survit sous le régime nazi – à condition de dénoncer les juifs clandestins. Torturée, elle se soumet. Après la guerre, détention en URSS, avenir fracassé, culpabilité terrible (plusieurs centaines de juifs ont été tués à cause d’elle), et, enfin, suicide en 1994.
Kilian Riedhof (« Vous n’aurez pas ma haine ») interroge le spectateur : qu’auriez-vous fait, à la place de Stella ? Et comment ne pas s’inquiéter, aujourd’hui, devant la montée de l’extrême droite ? Avec finesse, le cinéaste ne condamne pas. Mais fait de son film une arme : cette histoire, si terrible, ne révèle-t-elle pas une part de notre humanité ? Stella n’est-elle pas la dernière victime d’Hitler ? Un film impressionnant.
François Forestier (L'OBS)