ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

VOYAGE AU PÔLE SUD - Ciné Rencontre - 2024-04-29

Ciné Rencontre - lundi 29 avril à 20h00

VOYAGE AU PÔLE SUD de Luc Jacquet

CASINO - Plans Cultes - 2024-05-14

Plans Cultes - mardi 14 mai à 20h00

CASINO de Martin Scorsese

LE DEUXIÈME ACTE - Avant-première - 2024-05-14

Avant-première - mardi 14 mai à 20h00

LE DEUXIÈME ACTE de Quentin Dupieux

LE DEUXIÈME ACTE - Ciné Cosy - 2024-05-17

Ciné Cosy - vendredi 17 mai à 13h15

LE DEUXIÈME ACTE de Quentin Dupieux

LES CHOSES HUMAINES - Soirée Rencontre - 2024-05-21

Soirée Rencontre - mardi 21 mai à 20h00

LES CHOSES HUMAINES de Yvan Attal

ANGERS, TEXAS : TEN YEARS AFTER - Festival Levitation - 2024-05-25

Festival Levitation - samedi 25 mai à 11h00

ANGERS, TEXAS : TEN YEARS AFTER de Antony Bou

NOS ÉTOILES CONTRAIRES -  Josh Boone

A PROPOS

Adapté d’un best-seller, ce film raconte l’histoire de deux adolescents cancéreux au regard singulier et drôle sur l’existence.
Hazel, 17 ans, sait ses jours comptés. Depuis ses 13 ans, elle est atteinte d’un cancer incurable de la thyroïde et ses poumons, métastasés, fonctionnent de plus en plus mal. À contrecœur, elle se rend à un groupe de parole pour adolescents cancéreux.
Elle y rencontre Augustus, dit Gus, qui détonne. En rémission depuis un an et demi, il évoque le cancer qui a emporté sa jambe (« J’ai désormais le poids idéal »), montre sa prothèse, se compare à un cyborg. Le plus souvent, il visse une cigarette à ses lèvres, métaphore de son rapport à la vie : « Si je ne l’allume pas, je ne lui donne pas le pouvoir de me tuer. »
Une relation forte s’engage entre eux, où la maladie et la perspective de la mort ont toute leur place, mais aussi l’humour, tendre ou sarcastique. Hazel a pour livre de chevet Impériale affliction, dont l’héroïne est aussi atteinte d’un cancer, qui s’achève abruptement, en pleine phrase. Gus parvient à contacter son auteur qui vit à Amsterdam. Hazel n’a alors qu’une obsession : lui demander ce qui se passe après la fin du livre.
Best-seller aux États-Unis dès sa parution en 2012, The Fault in our Stars de John Green, inspiré par son expérience d’élève aumônier dans un hôpital pour enfants, a été traduit en France sous le titre Nos étoiles contraires.
Le long métrage s’ouvre sur cet avertissement de Hazel : « Il y a plusieurs façons de raconter une histoire triste. On peut décider de l’embellir. Mais ce n’est pas la vérité. Voici la vérité. »
La force du récit est de faire entrer de plain-pied dans la complicité de Hazel et Gus. Malgré les circonstances, ils posent sur la vie un regard plein de drôlerie et de fantaisie, partagent leurs univers, inventent des mots codés qui disent la force de leur lien.
Quand Gus avoue son affection à Hazel, elle prévient : « Je suis une grenade. Un jour, je vais exploser et tout détruire autour de moi. Je ne veux pas te faire de mal. » Mais l’histoire réserve des surprises – pas toutes bonnes…
Pétillant, généreux, le film est comme un rayon de soleil qui déclenche des torrents de larmes – une histoire triste, on vous dit. Ses limites sont ces adolescents beaux et radieux (comment représenter un malade en phase terminale ?) et un excès d’effets tire-larmes (musique, fins successives toujours plus tristes).
On peut décider d’y être hermétique. On peut aussi sortir ses mouchoirs et sangloter de concert avec la salle devant cette ode à la vie.
CORINNE RENOU-NATIVEL (La Croix)

Soirée rencontre
mardi 6 janvier 2015 à 20h15

suivi d'une rencontre avec Stéphanie Proust, oncologue pédiatre,
Céline Vergne, psychologue clinicienne
et Mathieu Bizet, éducateur en oncopédiatrie, au CHU d'Angers


NOS ÉTOILES CONTRAIRES

de Josh Boone

Avec Shailene Woodley, Ansel Elgort, Nat Wolff
USA - 2014 -2h05 - version française

Hazel Grace et Gus sont deux adolescents hors-normes, partageant un humour ravageur et le mépris des conventions. Leur relation est elle-même inhabituelle, étant donné qu’ils se sont rencontrés et sont tombés amoureux lors d'un groupe de soutien pour les malades du cancer.

https://fr-fr.facebook.com/NosEtoilesContraires

A PROPOS

Adapté d’un best-seller, ce film raconte l’histoire de deux adolescents cancéreux au regard singulier et drôle sur l’existence.
Hazel, 17 ans, sait ses jours comptés. Depuis ses 13 ans, elle est atteinte d’un cancer incurable de la thyroïde et ses poumons, métastasés, fonctionnent de plus en plus mal. À contrecœur, elle se rend à un groupe de parole pour adolescents cancéreux.
Elle y rencontre Augustus, dit Gus, qui détonne. En rémission depuis un an et demi, il évoque le cancer qui a emporté sa jambe (« J’ai désormais le poids idéal »), montre sa prothèse, se compare à un cyborg. Le plus souvent, il visse une cigarette à ses lèvres, métaphore de son rapport à la vie : « Si je ne l’allume pas, je ne lui donne pas le pouvoir de me tuer. »
Une relation forte s’engage entre eux, où la maladie et la perspective de la mort ont toute leur place, mais aussi l’humour, tendre ou sarcastique. Hazel a pour livre de chevet Impériale affliction, dont l’héroïne est aussi atteinte d’un cancer, qui s’achève abruptement, en pleine phrase. Gus parvient à contacter son auteur qui vit à Amsterdam. Hazel n’a alors qu’une obsession : lui demander ce qui se passe après la fin du livre.
Best-seller aux États-Unis dès sa parution en 2012, The Fault in our Stars de John Green, inspiré par son expérience d’élève aumônier dans un hôpital pour enfants, a été traduit en France sous le titre Nos étoiles contraires.
Le long métrage s’ouvre sur cet avertissement de Hazel : « Il y a plusieurs façons de raconter une histoire triste. On peut décider de l’embellir. Mais ce n’est pas la vérité. Voici la vérité. »
La force du récit est de faire entrer de plain-pied dans la complicité de Hazel et Gus. Malgré les circonstances, ils posent sur la vie un regard plein de drôlerie et de fantaisie, partagent leurs univers, inventent des mots codés qui disent la force de leur lien.
Quand Gus avoue son affection à Hazel, elle prévient : « Je suis une grenade. Un jour, je vais exploser et tout détruire autour de moi. Je ne veux pas te faire de mal. » Mais l’histoire réserve des surprises – pas toutes bonnes…
Pétillant, généreux, le film est comme un rayon de soleil qui déclenche des torrents de larmes – une histoire triste, on vous dit. Ses limites sont ces adolescents beaux et radieux (comment représenter un malade en phase terminale ?) et un excès d’effets tire-larmes (musique, fins successives toujours plus tristes).
On peut décider d’y être hermétique. On peut aussi sortir ses mouchoirs et sangloter de concert avec la salle devant cette ode à la vie.
CORINNE RENOU-NATIVEL (La Croix)