ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

I LOVE PERU - Ciné Cosy - 2025-07-11

Ciné Cosy - vendredi 11 juillet à 13h15

I LOVE PERU de Hugo David & Raphaël Quenard

PUSHER / PUSHER II : DU SANG SUR LES MAINS / PUSHER III : L'ANGE DE LA MORT - LA TRILOGIE PUSHER - 2025-08-24

LA TRILOGIE PUSHER - dimanche 24 août à 17h30

PUSHER / PUSHER II : DU SANG SUR LES MAINS / PUSHER III : L'ANGE DE LA MORT de Nicolas Winding Refn

LULU, FEMME NUE - Sólveig Anspach

A PROPOS

Solveig Anspach pouvait compter sur le talent de Karin Viard qui interprète sa Lulu pour offrir à son film une interprétation comique tout en finesse. On sent que cette femme n’a pas vécu grand-chose, elle s’est certainement mariée trop tôt, elle est aussi sans doute devenue mère trop tôt et elle s’est rapidement enfoncée dans le rythme quotidien, s’oubliant au passage. En rompant son rythme de vie habituel, le personnage principal de LULU, FEMME NUE fait sa petite révolution et l’actrice transmet bien ce côté transgressif un peu ridicule bien sûr, puisqu’il ne s’agit que de rater son train et dormir une nuit à l’hôtel, du moins au départ. Ce personnage fait beaucoup pour le comique du film, mais ce n’est pas le seul. Si, cette fois, Bouli Lanners hérite d’un personnage plus sérieux, on peut compter sur la grand-mère incarnée par Claude Gensac pour alimenter certaines scènes particulièrement drôles. Malgré quelques pointes de sérieux ici ou là, Solveig Anspach opte pour un traitement optimiste et positif qui explique cette impression de Feel Good Movie. Même si on peut préférer un cinéma plus mordant, il faut reconnaître que LULU, FEMME NUE trouve le ton juste et ne tombe jamais dans la niaiserie que l’on pouvait craindre. Les dialogues parfois acerbes y sont pour beaucoup : Solveig Anspach compose une comédie mordante qui se termine effectivement sur de bons sentiments.

Avant première / rencontre
lundi 18 novembre 2013 à 20h30

suivi d'une rencontre avec Sólveig Anspach, réalisatrice et Etienne Davodeau, auteur de bandes dessinées

Soirée organisée en collaboration avec Cinéma Parlant  et la collégiale St Martin dans le cadre de l'exposition "Des images et des mots"


LULU, FEMME NUE

de Sólveig Anspach

Avec Karin Viard, Bouli Lanners, Claude Gensac
France - 1h30 - 2013

À la suite d’un entretien d’embauche qui se passe mal, Lulu décide de ne pas rentrer chez elle et part en laissant son mari et ses trois enfants. Elle n’a rien prémédité, ça se passe très simplement. Elle s’octroie quelques jours de liberté, seule, sur la côte, sans autre projet que d’en profiter pleinement et sans culpabilité. En chemin, elle va croiser des gens qui sont, eux aussi, au bord du monde : un drôle d’oiseau couvé par ses frères, une vieille qui s’ennuie à mourir et une employée harcelée par sa patronne… Trois rencontres décisives qui vont aider Lulu à retrouver une ancienne connaissance qu’elle a perdu de vue : elle-même.
http://lulufemmenuelefilm.wordpress.com/

A PROPOS

Solveig Anspach pouvait compter sur le talent de Karin Viard qui interprète sa Lulu pour offrir à son film une interprétation comique tout en finesse. On sent que cette femme n’a pas vécu grand-chose, elle s’est certainement mariée trop tôt, elle est aussi sans doute devenue mère trop tôt et elle s’est rapidement enfoncée dans le rythme quotidien, s’oubliant au passage. En rompant son rythme de vie habituel, le personnage principal de LULU, FEMME NUE fait sa petite révolution et l’actrice transmet bien ce côté transgressif un peu ridicule bien sûr, puisqu’il ne s’agit que de rater son train et dormir une nuit à l’hôtel, du moins au départ. Ce personnage fait beaucoup pour le comique du film, mais ce n’est pas le seul. Si, cette fois, Bouli Lanners hérite d’un personnage plus sérieux, on peut compter sur la grand-mère incarnée par Claude Gensac pour alimenter certaines scènes particulièrement drôles. Malgré quelques pointes de sérieux ici ou là, Solveig Anspach opte pour un traitement optimiste et positif qui explique cette impression de Feel Good Movie. Même si on peut préférer un cinéma plus mordant, il faut reconnaître que LULU, FEMME NUE trouve le ton juste et ne tombe jamais dans la niaiserie que l’on pouvait craindre. Les dialogues parfois acerbes y sont pour beaucoup : Solveig Anspach compose une comédie mordante qui se termine effectivement sur de bons sentiments.