ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

JE VAIS MIEUX - Jean-Pierre Améris

A PROPOS

Rire sur le mal du dos ? C’est le pari de Jean-Pierre Améris avec « Je vais mieux », où l’on retrouve d’emblée les thématiques traditionnelles du cinéaste, où des personnages plein de failles vont devoir se surpasser et se battre contre eux-mêmes. Le mal du dos, souvent renommé le mal du siècle n’a jusqu’à présent, fait l’objet d’une comédie à part entière. Mais on comprend rapidement que ce qui intéresse Améris, ce n’est pas l’aspect médical qui va rapidement passer au second plan. Le mal de dos que ressent cet homme n’est expliqué par aucun médecin après des examens, mais serait d’origine psychologique. Le personnage d’Eric Elmosnino traverse des crises multiples : un travail qui le stresse et dont les supérieurs l’insupporte au plus haut point, son couple qui commence à vasciller, des meilleurs amis envahissants…

En explorant la comédie de « personnages », Jean-Pierre Améris véhicule un film empli de bons sentiments, où un homme doit changer sa vie pour pouvoir retrouver une sérénité de vie. Cela passera par retrouver le sens du travail accompli (le personnage appuiera son entreprise pour financer une passerelle permettant aux habitants d’une petite ville d’accéder à un parc de jeux). On retiendra la bonne prestation d’Eric Elmosnino (qui a connu la célébrité avec son mimétisme pour « Gainsbourg, vie héroique »). L’acteur, physiquement taillé pour ce rôle, exploite enfin son talent comique dans cette comédie honnête, qui dans certaines séquences comiques (la séance chez une magnétiseuse), révèle des nouveaux aspects comiques. Ary Abittan, en meilleur ami volage, et Alice Pol, incarnant une conquête d’Elmosnino, sont également convaincants et donnent un peu de fraîcheur à cette comédie qui traite du mal du siècle en le détournant sur un mal physiologique et psychologique.

Avant première
mercredi 2 mai 2018 à 20h00

en présence de Jean-Pierre Améris, réalisateur

Séance organisée en collaboration avec Cinéma Parlant


JE VAIS MIEUX

de Jean-Pierre Améris

avec Eric Elmosnino, Ary Abittan, Alice Pol
FRANCE - 2017 - 1h27

Un quinquagénaire est victime d’un mal de dos fulgurant. Tous les médecins, les radiologues et les ostéopathes du monde ne peuvent rien pour lui : la racine de son mal est psychologique. Mais de son travail, de sa femme ou de sa famille, que doit-il changer pour aller mieux ?

A PROPOS

Rire sur le mal du dos ? C’est le pari de Jean-Pierre Améris avec « Je vais mieux », où l’on retrouve d’emblée les thématiques traditionnelles du cinéaste, où des personnages plein de failles vont devoir se surpasser et se battre contre eux-mêmes. Le mal du dos, souvent renommé le mal du siècle n’a jusqu’à présent, fait l’objet d’une comédie à part entière. Mais on comprend rapidement que ce qui intéresse Améris, ce n’est pas l’aspect médical qui va rapidement passer au second plan. Le mal de dos que ressent cet homme n’est expliqué par aucun médecin après des examens, mais serait d’origine psychologique. Le personnage d’Eric Elmosnino traverse des crises multiples : un travail qui le stresse et dont les supérieurs l’insupporte au plus haut point, son couple qui commence à vasciller, des meilleurs amis envahissants…

En explorant la comédie de « personnages », Jean-Pierre Améris véhicule un film empli de bons sentiments, où un homme doit changer sa vie pour pouvoir retrouver une sérénité de vie. Cela passera par retrouver le sens du travail accompli (le personnage appuiera son entreprise pour financer une passerelle permettant aux habitants d’une petite ville d’accéder à un parc de jeux). On retiendra la bonne prestation d’Eric Elmosnino (qui a connu la célébrité avec son mimétisme pour « Gainsbourg, vie héroique »). L’acteur, physiquement taillé pour ce rôle, exploite enfin son talent comique dans cette comédie honnête, qui dans certaines séquences comiques (la séance chez une magnétiseuse), révèle des nouveaux aspects comiques. Ary Abittan, en meilleur ami volage, et Alice Pol, incarnant une conquête d’Elmosnino, sont également convaincants et donnent un peu de fraîcheur à cette comédie qui traite du mal du siècle en le détournant sur un mal physiologique et psychologique.