PROCHAINEMENT

LE PROCESSUS DE PAIX
de Ilan Klipper
FIFI
de Jeanne Aslan & Paul Saintillan
LA NUIT DU VERRE D'EAU
de Carlos Chahine
LOVE LIFE
de Kôji Fukada
STARS AT NOON
de Claire Denis
LACOMBE LUCIEN
de Louis Malle
AU REVOIR LES ENFANTS
de Louis Malle
MILOU EN MAI
de Louis Malle
SOIS BELLE ET TAIS TOI !
de Delphine Seyrig
JUAN
de Louise Heem
LE CHANT DES VIVANTS
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ÉLÉMENTAIRE
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ASTÉROÏD CITY
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IL BOEMO
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NEZOUH
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DANIEL
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A BOUT DE COURSE
de Sidney Lumet
GUET-APENS - DES CRIMES INVISIBLES
de Sarah Brethes, Mathieu Magnaudeix, David Perrotin
VERS UN AVENIR RADIEUX
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SPIDER-MAN : ACROSS THE SPIDER-VERSE
de Joaquim Dos Santos, Kemp Powers & Justin Thompson
PASSAGES
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LA SIRÈNE
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RHEINGOLD
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LES FILLES D'OLFA
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LE RETOUR
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ELEMENT OF CRIME
de Lars Von Trier
EPIDEMIC
de Lars Von Trier
OPPENHEIMER
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EUROPA
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BREAKING THE WAVES
de Lars Von Trier
LES IDIOTS
de Lars Von Trier
DANCER IN THE DARK
de Lars Von Trier
DOGVILLE
de Lars Von Trier
FIVE OBSTRUCTIONS
de Lars Von Trier
MANDERLAY
de Lars Von Trier
LE DIREKTØR
de Lars Von Trier
ANTICHRIST
de Lars Von Trier
MELANCHOLIA
de Lars Von Trier
NYMPHOMANIAC VOLUME 1
de Lars Von Trier
NYMPHOMANIAC VOLUME 2
de Lars von Trier
THE HOUSE THAT JACK BUILT
de Lars Von Trier

LA PRESSE

LE MONDE
Après sa trilogie "féminine", le cinéaste continue de s'affirmer comme un alchimiste médiéval, un artiste scrutant les abymes d'un monde originaire pour y retrouver l'élan pulsionnel, la formule secrète, entre kitsch et sublime, entre humour et romantisme noir, qui donnerait la clé tout à la fois d'une explication de l'Univers et de ses lois mystérieuses, ainsi que de la possibilité de sa transposition symbolique.
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LES INROCKUPTIBLES
Film long, heurté, imparfait, "The House that Jack Built" n'en reste pas moins une expérience sidérante où Lars von Trier atteint finalement son but : faire émerger la grande santé nietzschéenne de l'artiste par un travail du négatif, trouver la lumière à l'intérieur du tunnel.
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LIBÉRATION
Ainsi, si "The House That Jack Built" est bien trop systématique et attendu dans ses provocations [...], l'accumulation d'indécences fait un petit ensemble vraiment drôle et méchant, témoignant d'une malignité et d'une intelligence comme Lars von Trier n'en avait pas fait montre depuis bien longtemps.
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TÉLÉRAMA
Plus le film avance, plus le cinéaste prend des risques, et plus l'humour noir s'efface au profit d'un crescendo vraiment angoissant, menant à une chambre froide macabre.
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CRITIKAT
Le problème ne tient toutefois pas seulement dans la relative pauvreté de la réflexion, mais bien plutôt dans le fait que celle-ci ne prend jamais véritablement une autre forme que celle du discours.
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ECRAN LARGE
Résolument fait pour choquer, The House that Jack Built est de ces films qui marque une édition cannoise par les polémiques qu'ils engendrent.
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L'OBS
De plus en plus fêlé, le cinéaste laisse passer la lumière (l'Amérique des armes à feu au pilori), dépasse les bornes (énième provocation sur Hitler), sauf celle de la morale cinématographique : la violence, aussi perverse soit-elle, est filmée sans complaisance.
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A VOIR À LIRE
Propager l'argument « violence insoutenable » que l'on accole à ce film, qui n'a de choquant qu'un crâne explosé, deux enfants abattus d'une balle et un amoncellement de cadavres surgelés, serait une grande victoire de la bien-pensance. La seule chose d'insoutenable, c'est assurément sa vacuité.
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SUR LA TOILE

Matt Dillon en tueur en série
Ecouter l'émission

Lars Von Trier - Cannes 2018
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Renoir fait son cinéma
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A partir du mercredi 23 août

THE HOUSE THAT JACK BUILT

de Lars Von Trier

DANEMARK - 2018 - 2h35 - version originale sous-titrée

Avec Matt Dillon, Bruno Ganz, Uma Thurman...

Réédition - Version restaurée

Cannes 2018

Interdit aux moins de 16 ans


États-Unis, années 70.
Nous suivons le très brillant Jack à travers cinq incidents et découvrons les meurtres qui vont marquer son parcours de tueur en série. L'histoire est vécue du point de vue de Jack. Il considère chaque meurtre comme une oeuvre d'art en soi. Alors que l'ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher (ce qui exaspère Jack et lui met la pression) il décide - contrairement à toute logique - de prendre de plus en plus de risques. Tout au long du film, nous découvrons les descriptions de Jack sur sa situation personnelle, ses problèmes et ses pensées à travers sa conversation avec un inconnu, Verge. Un mélange grotesque de sophismes, d'apitoiement presque enfantin sur soi et d'explications détaillées sur les manoeuvres dangereuses et difficiles de Jack.

Filmographie : "Nymphomaniac", "Melancholia", "Antichrist"...

LA PRESSE

LE MONDE
Après sa trilogie "féminine", le cinéaste continue de s'affirmer comme un alchimiste médiéval, un artiste scrutant les abymes d'un monde originaire pour y retrouver l'élan pulsionnel, la formule secrète, entre kitsch et sublime, entre humour et romantisme noir, qui donnerait la clé tout à la fois d'une explication de l'Univers et de ses lois mystérieuses, ainsi que de la possibilité de sa transposition symbolique.
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LES INROCKUPTIBLES
Film long, heurté, imparfait, "The House that Jack Built" n'en reste pas moins une expérience sidérante où Lars von Trier atteint finalement son but : faire émerger la grande santé nietzschéenne de l'artiste par un travail du négatif, trouver la lumière à l'intérieur du tunnel.
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LIBÉRATION
Ainsi, si "The House That Jack Built" est bien trop systématique et attendu dans ses provocations [...], l'accumulation d'indécences fait un petit ensemble vraiment drôle et méchant, témoignant d'une malignité et d'une intelligence comme Lars von Trier n'en avait pas fait montre depuis bien longtemps.
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TÉLÉRAMA
Plus le film avance, plus le cinéaste prend des risques, et plus l'humour noir s'efface au profit d'un crescendo vraiment angoissant, menant à une chambre froide macabre.
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CRITIKAT
Le problème ne tient toutefois pas seulement dans la relative pauvreté de la réflexion, mais bien plutôt dans le fait que celle-ci ne prend jamais véritablement une autre forme que celle du discours.
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ECRAN LARGE
Résolument fait pour choquer, The House that Jack Built est de ces films qui marque une édition cannoise par les polémiques qu'ils engendrent.
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L'OBS
De plus en plus fêlé, le cinéaste laisse passer la lumière (l'Amérique des armes à feu au pilori), dépasse les bornes (énième provocation sur Hitler), sauf celle de la morale cinématographique : la violence, aussi perverse soit-elle, est filmée sans complaisance.
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A VOIR À LIRE
Propager l'argument « violence insoutenable » que l'on accole à ce film, qui n'a de choquant qu'un crâne explosé, deux enfants abattus d'une balle et un amoncellement de cadavres surgelés, serait une grande victoire de la bien-pensance. La seule chose d'insoutenable, c'est assurément sa vacuité.
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SUR LA TOILE

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