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LES GARDIENNES DE LA PLANÈTE
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ASTRAKAN
de David Depesseville
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SUR L'ADAMANT
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LA PRESSE

LES INROCKUPTIBLES
Traversée par un sens de l'ellipse fulgurant et d'un morcellement tranchant de l'espace, toute la partition sonore et visuelle semble ici converger vers un même horizon : saisir l'extrême sensorialité d'un milieu rural pour mieux renier l'enregistrement réaliste du quotidien dont serait porteur le film social.
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LIBÉRATION
Astrakan a des secrets, des opacités qui semblent d'abord feintes, sophistiquées, savamment glauques (théoriques), puis gagnent de plus en plus de terrain, se font inquiétantes, plus empathiques, plus incarnées, jusqu'à carrément nous engloutir, sur le mode palpitant d'un inconscient à ciel ouvert, déchaîné.
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A VOIR À LIRE
Avec un traitement plus suggestif que réaliste, Astrakan jette le trouble sur la nature profonde d'un adolescent placé en famille d'accueil.
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TÉLÉRAMA
Entre Pialat et Jean-Claude Brisseau, entre naturalisme et baroque, Astrakan marque la naissance d'un cinéaste, qui filme l'enfance dans un style sensoriel.
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L'OBS
On pense aux films de Jean Eustache ou de Jean-Daniel Pollet : tourné en 16 mm (et non en vidéo), ce récit en demi-teinte échappe aux clichés habituels du cinéma consacré aux orphelins : il y a là un ton, une sincérité, un regard. Du naturalisme rêveur.
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SUR LA TOILE

Aucun misérabilisme dans ce film [...] : nous parlerons plutôt d'un juste dosage entre regard réaliste sur un monde rural déboussolé et finesse d'une écriture à la fois parfaitement limpide et zigzaguant habilement entre sa violence et sa douceur, parfois teintée d'une étrangeté qui lui sied très bien. »
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jeudi 13 avril - Séance unique

ASTRAKAN

de David Depesseville

FRANCE - 2022 - 1h44

Avec Mirko Gianinni, Jehnny Beth, Bastien Bouillon...

Festival Premiers Plans d'Angers 2023


Samuel est un orphelin de douze ans à l'allure sauvage. ll est placé depuis quelques semaines dans le Morvan chez Marie, Clément et leurs deux garçons. Samuel s'émancipe, découvre les sensations et les troubles de son âge, mais très vite il doit aussi faire face aux secrets de cette nouvelle famille. Jusqu'à ce que, un jour, tout en vienne à se transfigurer.

Filmographie : 1er film

LA PRESSE

LES INROCKUPTIBLES
Traversée par un sens de l'ellipse fulgurant et d'un morcellement tranchant de l'espace, toute la partition sonore et visuelle semble ici converger vers un même horizon : saisir l'extrême sensorialité d'un milieu rural pour mieux renier l'enregistrement réaliste du quotidien dont serait porteur le film social.
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LIBÉRATION
Astrakan a des secrets, des opacités qui semblent d'abord feintes, sophistiquées, savamment glauques (théoriques), puis gagnent de plus en plus de terrain, se font inquiétantes, plus empathiques, plus incarnées, jusqu'à carrément nous engloutir, sur le mode palpitant d'un inconscient à ciel ouvert, déchaîné.
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A VOIR À LIRE
Avec un traitement plus suggestif que réaliste, Astrakan jette le trouble sur la nature profonde d'un adolescent placé en famille d'accueil.
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TÉLÉRAMA
Entre Pialat et Jean-Claude Brisseau, entre naturalisme et baroque, Astrakan marque la naissance d'un cinéaste, qui filme l'enfance dans un style sensoriel.
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L'OBS
On pense aux films de Jean Eustache ou de Jean-Daniel Pollet : tourné en 16 mm (et non en vidéo), ce récit en demi-teinte échappe aux clichés habituels du cinéma consacré aux orphelins : il y a là un ton, une sincérité, un regard. Du naturalisme rêveur.
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SUR LA TOILE

Aucun misérabilisme dans ce film [...] : nous parlerons plutôt d'un juste dosage entre regard réaliste sur un monde rural déboussolé et finesse d'une écriture à la fois parfaitement limpide et zigzaguant habilement entre sa violence et sa douceur, parfois teintée d'une étrangeté qui lui sied très bien. »
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