PAS EN MON NOM ! - Daniel Kupferstein

A PROPOS

Très souvent, lorsque les conflits violents reprennent au Proche-Orient, les français d’origine juive sont appelés à soutenir inconditionnellement l’Etat d’Israël.
Pourtant, un certain nombre d’entre eux, comme moi, refusent de s’enfermer dans ce schéma. Attachés à une paix dans cette région du monde, nous rejetons cette assignation identitaire tout en craignant le développement de l’antisémitisme.
Voilà pourquoi, je suis allé à la rencontre de quelques personnes vivant en France, qui affirment, non seulement leur opposition à la politique israélienne vis à vis des Palestiniens, mais dénoncent aussi, les amalgames et glissements antisémites qui se cachent autour de ce conflit en rendant tous les juifs co-responsables de la politique israélienne.
Malheureusement ce point de vue ne se fait pas suffisamment entendre…
Ce film est basé autour de trois grandes thématiques :
1°) Les origines, traditions et religion.
2°) Le lien avec Israël et l’engagement.
3°) Et pour finir par ce que j’ai appelé l’instrumentalisation du conflit et les dérapages.
C’est donc autour de ces rencontres que le film tente d’apporter quelques réponses aux idées reçues, quelques réflexions qui je l’espère feront réfléchir…
Les 8 personnes rencontrées (dans l’ordre d’apparition) :
Bernard Bloch, Emmeline Fagot, Andrée Bensoussan, Maurice Rasjfus, Karen Akoka, Rony Brauman, Robert Kissous, Esther Benbassa

Le film est soutenu par la Ligue des Droits de l’Homme (LDH), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), le Mouvement de la Paix, l’Union des juifs pour la résistance et l’entraide (UJRE), Une autre voix juive (UAVJ), l’Union juive française pour la paix (UJFP) et des  fédérations de l’association France-Palestine Solidarité (AFPS)

Ciné Doc
lundi 15 novembre 2021 à 20h00

En présence du réalisateur

Soirée organisée en collaboration avec l'association Cinéma Parlant et l'AFPS


PAS EN MON NOM !

de Daniel Kupferstein

Documentaire
FRANCE - 2019 - 1h32

Souvent, en France, lorsque les conflits reprennent au Proche-Orient, les personnes d’origine juive sont appelées à soutenir inconditionnellement l’Etat d’Israël. Pourtant, un certain nombre d’entre elles, comme moi, refusent de s’enfermer dans cette assignation communautaire, tout en craignant le développement de l’antisémitisme. C’est pourquoi, je suis allé à leur rencontre…

A PROPOS

Très souvent, lorsque les conflits violents reprennent au Proche-Orient, les français d’origine juive sont appelés à soutenir inconditionnellement l’Etat d’Israël.
Pourtant, un certain nombre d’entre eux, comme moi, refusent de s’enfermer dans ce schéma. Attachés à une paix dans cette région du monde, nous rejetons cette assignation identitaire tout en craignant le développement de l’antisémitisme.
Voilà pourquoi, je suis allé à la rencontre de quelques personnes vivant en France, qui affirment, non seulement leur opposition à la politique israélienne vis à vis des Palestiniens, mais dénoncent aussi, les amalgames et glissements antisémites qui se cachent autour de ce conflit en rendant tous les juifs co-responsables de la politique israélienne.
Malheureusement ce point de vue ne se fait pas suffisamment entendre…
Ce film est basé autour de trois grandes thématiques :
1°) Les origines, traditions et religion.
2°) Le lien avec Israël et l’engagement.
3°) Et pour finir par ce que j’ai appelé l’instrumentalisation du conflit et les dérapages.
C’est donc autour de ces rencontres que le film tente d’apporter quelques réponses aux idées reçues, quelques réflexions qui je l’espère feront réfléchir…
Les 8 personnes rencontrées (dans l’ordre d’apparition) :
Bernard Bloch, Emmeline Fagot, Andrée Bensoussan, Maurice Rasjfus, Karen Akoka, Rony Brauman, Robert Kissous, Esther Benbassa

Le film est soutenu par la Ligue des Droits de l’Homme (LDH), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), le Mouvement de la Paix, l’Union des juifs pour la résistance et l’entraide (UJRE), Une autre voix juive (UAVJ), l’Union juive française pour la paix (UJFP) et des  fédérations de l’association France-Palestine Solidarité (AFPS)