BUENA VISTA SOCIAL CLUB - Wim Wenders

A PROPOS

« Wim Wenders s’est mis au service de Ry Cooder qui s’est mis au service des musiciens cubains, la boucle est plaisamment bouclée. Mais Wim Wenders retrouve aussi une légèreté de filmer qu’on ne lui  avait plus connue depuis longtemps. » Jean-Michel Frodon – Le Monde

« Entre concert, studio et intérieurs havanais, le film s’éclaire par petites touches. Ce charme est affaire d’ambiance, de bonnes vibrations. Ici, on aime la musique, on la saisit avec ferveur, on la partage. D’Ibrahim à Wim, de Compay à Ry. » François Gorin – Télérama

Ciné classique
dimanche 21 novembre 2021 à 17h45

présenté par Louis Mathieu, association Cinéma Parlant

Séance organisée en collaboration avec l'Université d'Angers et Cinéma Parlant dans le cadre de la semaine de cinéma de langue espagnole


BUENA VISTA SOCIAL CLUB

de Wim Wenders

avec Company Segundo, Eliades Ochoa, Joachim Cooder, Ibrahim Ferrer, Omara Portuondo, Ruben Gonzales, Orlando Cachaito Lopez.
ESPAGNE - 1998 - 1h40 - VOST - Réédition - Version restaurée

Ry Cooder a composé la musique de Paris Texas et de The End of Violence. Au cours du travail sur ce dernier film, il parlait souvent avec enthousiasme à Wim Wenders de son voyage à Cuba et du disque qu’il y avait enregistré avec de vieux musiciens cubains. Le disque, sorti sous le nom de « Buena Vista Social Club », fut un succès international. Au printemps 1998, Ry Cooder retourne à Cuba pour y enregistrer un disque avec Ibrahim Ferrer et tous les musiciens qui avaient participé au premier album. Cette fois, Wim Wenders était du voyage avec une petite équipe de tournage.

https://www.acaciasfilms.com/film/buena-vista-social-club/

A PROPOS

« Wim Wenders s’est mis au service de Ry Cooder qui s’est mis au service des musiciens cubains, la boucle est plaisamment bouclée. Mais Wim Wenders retrouve aussi une légèreté de filmer qu’on ne lui  avait plus connue depuis longtemps. » Jean-Michel Frodon – Le Monde

« Entre concert, studio et intérieurs havanais, le film s’éclaire par petites touches. Ce charme est affaire d’ambiance, de bonnes vibrations. Ici, on aime la musique, on la saisit avec ferveur, on la partage. D’Ibrahim à Wim, de Compay à Ry. » François Gorin – Télérama