J'VEUX DU SOLEIL - Gilles Perret & François Ruffin

A PROPOS

"J'veux du soleil", c'est ce road-trip filmé du député de la France Insoumise François Ruffin sur plusieurs ronds-points de France d'Amiens à Montpellier à la rencontre des Gilets Jaunes. Le co-réalisateur Gilles Perret, avec une filmographie déjà bien remplie et engagée, présente son documentaire comme un film "humaniste". "C'est plus un film d'amour qu'un film de combat". L'objectif du réalisateur, dessiner "d'autres traces que celles que l'on a pu trouver sur BFM TV" tout au long de la mobilisation des Gilets Jaunes. Ce qui a frappé celui qui a laissé trainer ses caméras à l'intérieur du QG des Gilets Jaunes annéciens à Pringy, "leur honte restait enfermée chez eux, et d'un coup, ils ont exprimé leur ras-le-bol" raconte-t-il.

Dans ce film, on retrouve "des témoignages très poignants, émouvants et drôles". Le côté comique et humain est porté selon Gilles Perret par "le personnage de François Ruffin". "Avec François, ça fait 15 ans qu'on se connait" déclare le haut-savoyard. Une entente basée sur de l'amitié, mais aussi sur un partage de valeurs communes. "La France Insoumise porte les valeurs environnementales et sociales, et il se trouve que c'est celles que je défend dans ma filmographie". Mais pas question de taxer son film de "militant". "L'étiquette politique m'intéresse assez peu". 

Gilles Perret se félicite du message qu'il va tenter d'envoyer au public à partir du 3 avril prochain en sortie nationale. "On donne une belle image de cette France méprisée, et on est bien loin des caricatures qu'ont donné certains médias dominants" lance l'enfant du pays.

Ciné doc / Rencontre
mardi 9 avril 2019 à 20h00

en présence de Gilles Perret, réalisateur

SÉANCE COMPLÈTE


PAS DE VENTE EN LIGNE


J'VEUX DU SOLEIL

de Gilles Perret & François Ruffin

Documentaire
FRANCE - 2019

Soudain, des Corinne, des Carine, des Khaled, des Rémi, des Denis, des Cindy, des Marie, d’habitude résignés, longtemps abattus, se redressent, se dressent contre l’éternité d’une fatalité. Ils se lient et se liguent, leurs hontes privées, accumulées, se font colère publique, et à leurs seigneurs, à leurs maîtres, aux pouvoirs, ils opposent leurs corps, leurs barricades, leurs cabanes. Leurs voix, surtout : la parole se libère, déchaînée, pour réclamer une part de bonheur.
C’est un éclair, alors, qui déchire la nuit noire de l’histoire. Un éclair, un éclair jaune, fluorescent même, qui ne dure qu’un instant, un instant seulement, mais se grave dans les mémoires. Derrière, le tonnerre fait résonner ce mot : espoir.
Comme en une hasardeuse chasse aux papillons, Gilles Perret et François Ruffin sont partis pour un road-movie dans la France d’aujourd’hui. En guise de filet, une caméra, pour capturer cet instant, magique, pour saisir sur le vif les visages et les voix des Corinne, des Carine, des Khaled, des Rémi, des Denis, des Cindy, des Marie.
https://www.jour2fete.com/distribution/jveux-du-soleil

A PROPOS

"J'veux du soleil", c'est ce road-trip filmé du député de la France Insoumise François Ruffin sur plusieurs ronds-points de France d'Amiens à Montpellier à la rencontre des Gilets Jaunes. Le co-réalisateur Gilles Perret, avec une filmographie déjà bien remplie et engagée, présente son documentaire comme un film "humaniste". "C'est plus un film d'amour qu'un film de combat". L'objectif du réalisateur, dessiner "d'autres traces que celles que l'on a pu trouver sur BFM TV" tout au long de la mobilisation des Gilets Jaunes. Ce qui a frappé celui qui a laissé trainer ses caméras à l'intérieur du QG des Gilets Jaunes annéciens à Pringy, "leur honte restait enfermée chez eux, et d'un coup, ils ont exprimé leur ras-le-bol" raconte-t-il.

Dans ce film, on retrouve "des témoignages très poignants, émouvants et drôles". Le côté comique et humain est porté selon Gilles Perret par "le personnage de François Ruffin". "Avec François, ça fait 15 ans qu'on se connait" déclare le haut-savoyard. Une entente basée sur de l'amitié, mais aussi sur un partage de valeurs communes. "La France Insoumise porte les valeurs environnementales et sociales, et il se trouve que c'est celles que je défend dans ma filmographie". Mais pas question de taxer son film de "militant". "L'étiquette politique m'intéresse assez peu". 

Gilles Perret se félicite du message qu'il va tenter d'envoyer au public à partir du 3 avril prochain en sortie nationale. "On donne une belle image de cette France méprisée, et on est bien loin des caricatures qu'ont donné certains médias dominants" lance l'enfant du pays.