ACTUELLEMENT

Semaine du 21 au 27 mai
LA VENUE DE L'AVENIR
de Cédric Klapisch
JEUNES MÈRES
de Jean Pierre & Luc Dardenne
LES MAUDITES
de Pedro Martín-Calero
LIBERTATE
de Tudor Giurgiu
OLLIE
de Antoine Besse
PARTIR UN JOUR
de Amélie Bonnin
LES MUSICIENS
de Grégory Magne
SINNERS
de Ryan Coogler
TU NE MENTIRAS POINT
de Tim Mielants
UN MONDE MERVEILLEUX
de Giulio Callegari
CONCLAVE
de Edward Berger
À BICYCLETTE !
de Mathias Mlekuz
LA CHAMBRE DE MARIANA
de Emmanuel Finkiel
ZION
de Nelson Foix
MARCO, L'ÉNIGME D'UNE VIE
de Aitor Arregi & Jon Garaño
LES RÈGLES DE L'ART
de Dominique Baumard
THE SHAMELESS
de Konstantin Bojanov
ACCIDENT DOMESTIQUE
de Caye Casas
FANON
de Jean-Claude Barny
QUATRE NUITS D'UN RÊVEUR
de Robert Bresson
ANIMO RIGOLO
Collectif
LA FAMILLE ASADA
de Ryôta Nakano

THE SHAMELESS

de Konstantin Bojanov

INDE - BULGARIE - 2024 - 1h54 - version originale sous-titrée

Avec Mita Vashisht, Auroshikha Dey, Tanmay Dhanania...

Prix d'interprétation féminine Un Certain Regard - Cannes 2024

Interdit - 12 ans


Mer 21 Jeu 22 Ven 23 Sam 24 Dim 25 Lun 26 Mar 27
16:00
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Dans la nuit, Nadira fuit Dehli après avoir poignardé un policier. Elle se cache dans une communauté de prostituées du nord de l'Inde où elle rencontre Devika, une jeune fille que sa mère veut marier de force. Ensemble, au péril de leur vie, elles décident de se rebeller contre l'institution religieuse et les traditions archaïques pour conquérir leur liberté.

Filmographie : "Light Thereafter", "Avé", "Invisible"

NOTE DES SPECTATEURS

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Moyenne : 5,7/10 (12 spectateurs)

SUR LA TOILE

En choisissant une tonalité proche du thriller, Konstantin Bojanov insuffle une certaine fièvre à cette tentative d'échappée d'un monde dominé par les hommes, sous l'ombre du contrôle social et d'une police et de politiques corrompus, et où des visions éprouvantes (les draps envahis peu à peu par le sang...) viennent rajouter au malaise.
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Dans une ambiance de thriller au cordeau, Bojanov raconte ici les femmes comme objets de toutes les maltraitances sans verser dans le misérabilisme. Grâce à sa mise en images aux couleurs chaudes qui contraste intelligemment avec l'aspect glacial des violences subies par ces figures vibrantes de résistantes en quête d'émancipation. Quoi qu'il leur en coûte.
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LA PRESSE

L'OBS
Ce film coup de poing, dont la mise en scène n'interrompt jamais son mouvement et sa fuite en avant, sait suspendre sa fureur pour saisir la beauté tragique d'une passion naissante.
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TÉLÉRAMA
Si la vie n'étouffe pas complètement sous cette avalanche d'horreurs, c'est grâce à ses deux actrices principales, la jeune Omara et surtout l'étonnante Anasuya Sengupta, voix grave et colère à cran d'arrêt, Prix d'interprétation cannois de la section Un certain regard en 2024.
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