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Semaine du 2 au 8 octobre
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MEGALOPOLIS
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de Gilles Lellouche
LA PROMESSE DE L'AIDANT
de Edouard Carrion

MEGALOPOLIS

de Francis Ford Coppola

USA - 2024 - 2h18 - version originale sous-titrée

Avec Adam Driver, Giancarlo Esposito, Nathalie Emmanuel...

Cannes 2024


Mer Jeu Ven Sam Dim Lun Mar
13:15
15:40*accessible aux personnes à mobilité réduites
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La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d'arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero. Le premier rêve d'un avenir utopique idéal alors que le second reste très attaché à un statu quo régressif protecteur de la cupidité, des privilèges et des milices privées. La fille du maire et jet-setteuse Julia Cicero, amoureuse de César Catilina, est tiraillée entre les deux hommes et devra découvrir ce qui lui semble le meilleur pour l'avenir de l'humanité.

Filmographie : "Apocalypse Now", "Le Parrain", "Dracula"...

NOTE DES SPECTATEURS

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Moyenne : 5,6/10 (69 spectateurs)

SUR LA TOILE

"Megalopolis" laisse le souvenir d'une rêverie hallucinée, d'un éblouissement. "Sunset" devenant "Sunrise Boulevard" par la magie d'une esthétique du morphing. C'est un film alien, où la science-fiction surannée se fait structure expérimentale, dé-programmatique sous des dehors de continuité culturelle.
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"Megalopolis" est peut-être l'oeuvre d'un homme trop seul, à qui il manque un ou une partenaire de travail pour lui signaler les imperfections profondes de sa production, mais son énergie renversante offre l'impression tenace qu'il n'y a pas deux films qui lui ressemblent. Pour le meilleur et pour le pire, mais souvent pour le meilleur.
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"Les politiciens ne m'intéressent pas", affirme le réalisateur de Megalopolis, Francis Ford Coppola
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LA PRESSE

A VOIR À LIRE
Totalement mégalomaniaque, gigantesque et profondément visionnaire, le nouveau délire quantique de Francis Ford Coppola est une réussite absolue.
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CRITIKAT
Le film le plus libre et le plus fou de Coppola. Megalopolis n'a pas fini de nous hanter.
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LE MONDE
Le résultat est une fantasmagorie politique dont les références (de Suétone à Harold Lloyd, en passant par Shakespeare et Fellini) et les registres (uchronie-tragédie-comédie) fusent en un pétaradant feu d'artifice.
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LES INROCKUPTIBLES
C'est l'oeuvre-monde de son créateur, un péplum rétrofuturiste pétri de citations cinéphiles, en gestation depuis quarante ans. Une chimère à la mesure de la liberté folle que le réalisateur s'est octroyée.
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LIBÉRATION
"Megalopolis", que tout annonçait comme pompeux, lévite insolemment, malgré la quantité de ses intrigues et de ses personnages, en dépit du poids écrasant de chacune de ses séquences, de chacun de ses plans, au-dessus du désastre qu'il aurait pu être, constamment bizarre, outré, trivial, étonnant, un peu Matrix, un peu King Vidor, foisonnant effectivement d'un siècle d'images et de langage de cinéma mondial, donnant effectivement à voir une masse critique d'images ahurissantes, à un débit qui dépasse l'entendement.
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L'OBS
Opéra bouffi, néopéplum pseudo-philosophique, farce pontifiante : on pourrait résumer le ratage en formules lapidaires. On préférera se souvenir de ses quelques visions inspirées, du désir intact de l'immense metteur en scène d'« Apocalypse Now » d'expérimenter. De son indéfectible croyance en un art qu'il ne maîtrise plus tout à fait.
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TÉLÉRAMA
De son projet plein de panache, le réalisateur tire une fable rétrofuturiste outrancière et étouffante.
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