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Semaine du 11 au 17 décembre
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LIMONOV. LA BALLADE
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LE JOUEUR DE GO
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JUSQU'A L'AUBE
de Shô Miyake
MADAME HOFMANN
de Sébastien Lifshitz
PIÈGE DE CRISTAL
de John McTiernan

LIMONOV. LA BALLADE

de Kirill Serebrennikov

ITALIE - FRANCE - 2024 - 2h18 - version originale sous-titrée

Avec Ben Whishaw, Masha Mashkova, Tomas Arana...

Cannes 2024


Mer 11 Jeu 12 Ven 13 Sam 14 Dim 15 Lun 16 Mar 17

Tout à la fois militant, révolutionnaire, dandy, voyou, majordome ou sans abri, il fut un poète enragé et belliqueux, un agitateur politique et le romancier de sa propre grandeur. La vie d'Edouard Limonov, comme une trainée de soufre, est un voyage à travers les rues agitées de Moscou et les gratte-ciels de New-York, des ruelles de Paris au coeur des geôles de Sibérie pendant la seconde moitié du XXe siècle.

Filmographie : "La Femme de Tchaïkovski", "La fièvre de Petrov", "Leto"...

NOTE DES SPECTATEURS

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SUR LA TOILE

Virtuose, harassant mais porté par le génie de Ben Whishaw.
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"Limonov, la ballade", un film éblouissant dans la mise en scène signée par un Kirill Serebrennikov inspiré, mais un peu frustrant sur la dernière partie du parcours d'un utopiste devenu fasciste.
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Suivant à la trace les différentes étapes de la vie de cet insaisissable punk à l'ego surdimensionné, le film semble célébrer ce personnage sans limites, opportuniste et violent. En enlevant le personnage du témoin admiratif mais inquiet qu'incarnait Emmanuel Carrère dans son livre, le cinéaste laisse du coup en suspend la question de ses intentions et de son propre point de vue sur cet homme trouble
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LA PRESSE

A VOIR À LIRE
Inspiré du roman d'Emmanuel Carrère, le portrait que dresse Kirill Serebrennikov d'un poète dandy, clivant et antipathique, est un exercice de cinéma, définitivement débarrassé de tout académisme narratif. Jubilatoire et passionnant.
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LES INROCKUPTIBLES
Dans un geste qui ne relève ni de l'autoportrait déformant ni de complètement autre chose, Serebrenikov moque tendrement le jeune poète de Kharkiv, envie la liberté du trentenaire fauché de New York – où se déroulent les séquences les plus virtuoses et romantiques du long métrage.
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L'OBS
Se dessine néanmoins le portrait d'un Zelig de la fin du XXe siècle, d'une âme russe monstrueuse, symptomatique de plusieurs décennies de fourvoiements idéologiques ayant mené à Poutine et incarnée avec une détermination trouble par le caméléonesque (et britannique !) Ben Whishaw.
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LE MONDE
Comme Carrère, ce qui captive Kirill Serebrennikov est la « russitude », proprement dostoïevskienne, de Limonov, dont il livre un saisissant portrait diffracté, plastiquement ourlé, giflé en off par les anathèmes crachés à la face du monde par son héros.
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TÉLÉRAMA
Kirill Serebrennikov adapte le roman d'Emmanuel Carrère. Une ballade libre dans les pas d'un vaurien héroïque et provocateur, qui quitta l'URSS par soif de tous les plaisirs.
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LIBÉRATION
Presque trop parfaite, la biographie adaptée du roman d'Emmanuel Carrère s'intéresse particulièrement aux années new-yorkaises du poète russe campé par Ben Whishaw
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CRITIKAT
Pas de distance critique chez le cinéaste ; on sent au contraire chez lui une forme d'empathie doublée d'une volonté de rendre l'auteur cool, jusque dans son virage crypto-fasciste des années 2000.
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