ACTUELLEMENT

Semaine du 29 mars au 4 avril
THE LOST KING
de Stephen Frears
LOS REYES DEL MUNDO
de Laura Mora
SEPT HIVERS À TÉHÉRAN
de Steffi Niederzoll
AILLEURS SI J'Y SUIS
de François Pirot
VOYAGES EN ITALIE
de Sophie Letourneur
SUR LES CHEMINS NOIRS
de Denis Imbert
LE BLEU DU CAFTAN
de Maryam Touzani
EVERYTHING EVERYWHERE ALL AT ONCE
de Daniel Scheinert & Daniel Kwan
MON CRIME
de François Ozon
LA SYNDICALISTE
de Jean-Paul Salomé
THE FABELMANS
de Steven Spielberg
ETERNAL DAUGHTER
de Joanna Hogg
DALVA
de Emmanuelle Nicot
CHILI 1976
de Manuela Martelli
L'EDEN
de Andrés Ramirez Pulido
HOURIA
de Mounia Meddour
EMILY
de Frances O'Connor
THE WHALE
de Darren Aronofsky
EMPIRE OF LIGHT
de Sam Mendes
THE SON
de Florian Zeller
VALENTINA
de Chelo Loureiro
ALMA VIVA
de Cristèle Alves Meira
L'ÉCHAPPÉE BELLE
de Paolo Virzì
MAUVAISES FILLES
de Émérance Dubas
LE MUR QUI NOUS SÉPARE
de Norbert Lechner
PETITE SOEUR
de Véronique Reymond & Stéphanie Chuat
LA LEÇON D'ALLEMAND
de Christian Schwochow
I'M YOUR MAN
de Maria Schrader
LA JEUNE FILLE ET L'ARAIGNÉE
de Ramon & Silvan Zürcher
LES ANNEES DE PLOMB
de Margarethe Von Trotta
HINTERLAND
de Stefan Ruzowitzky
CORSAGE
de Marie Kreutzer

EMPIRE OF LIGHT

de Sam Mendes

GRANDE BRETAGNE - USA - 2023 - 1h59 - version originale sous-titrée

Avec Olivia Colman, Micheal Ward, Tom Brooke...


Séances à 13h15


Hilary est responsable d'un cinéma dans une ville balnéaire anglaise et tente de préserver sa santé mentale fragile. Stephen est un nouvel employé qui n'aspire qu'à quitter cette petite ville de province où chaque jour peut vite se transformer en épreuve. En se rapprochant l'un de l'autre, ils vont apprendre à soigner leurs blessures grâce à la musique, au cinéma et au sentiment d'appartenance à un groupe...

Filmographie : "1917", "007 Spectre", "Skyfall"...

NOTE DES SPECTATEURS

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SUR LA TOILE

Ode à une salle de cinéma et aux liens qui sauvent, portrait d'une femme éteinte qui va « se rallumer », Empire of Light célèbre la magie. Celle qui s'offre à nous si on veut bien la regarder.
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Sam Mendes rend hommage à sa mère, qui était atteinte d'une maladie mentale similaire. Il envoie aussi une superbe lettre d'amour au septième art. En peu d'images, il en dit beaucoup.
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Sam Mendes nous emmène au cinéma (et c'est beau)
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LA PRESSE

A VOIR À LIRE
Quatre ans après le triomphe de 1917 , le cinéaste Sam Mendes revient à l'épure et nous conte l'union de deux solitudes dans une Angleterre thatchérienne et déchaînée, où toute la violence du monde ne saurait résister à la toile de cinéma, filmée comme un sacerdoce. Empire of Light se vit comme une rêverie fiévreuse, passionnée, sacrée.
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LIBÉRATION
Enième ode au cinéma, le mélodrame eighties de Sam Mendes, porté par une Olivia Colman émouvante, glisse habilement entre ses personnages.
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TÉLÉRAMA
Délicat et émouvant.
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ECRAN LARGE
Portrait d'époque, romance impossible, lettre d'amour au cinéma, drame social... Empire of Light s'emmêle les pinceaux dans un trop-plein d'idées confuses, malgré la puissante prestation d'Olivia Colman.
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L'OBS
C'est une lettre d'amour au cinéma, d'une rare beauté.
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LE MONDE
Cette ode à la salle de cinéma, aux malheurs et à l'amitié qui s'y tiennent la main, à la chaleur qui s'y répand, au lustre qu'elle ressuscite, offre l'exemple d'un spectacle qu'on dirait aujourd'hui, en cette époque « marvelisée », à l'ancienne, avec le goût de la reconstitution soignée, du dialogue bien mené, de l'interprétation irréprochable.
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CRITIKAT
À vouloir trop enfermer la fameuse « magie du cinéma » dans un bocal, Mendes produit un cinéma sans magie – une vision d'auteur sans vision.
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LES INROCKUPTIBLES
Sam Mendes offre une vision peu inspirée du cinéma et de ses personnages.
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