ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES
A PROPOS
Sur les trois heures épiques que dure ce film au casting affolant, une seule environ se déroule dans l'enfer vietnamien. C'est le chapitre du milieu. Avant, on voit les hauts fourneaux d'une aciérie de Pennsylvanie, une bande soudée de sidérurgistes, un mariage orthodoxe, des beuveries sans nom, une chasse au chevreuil dans des montagnes de western. Bref, une certaine image du rêve américain, mais aussi des présages. Après, il y a des vies brisées, des illusions perdues et surtout une amitié amoureuse ravagée. Riche d'interprétations diverses et de retombées plus ou moins anecdotiques (du port du bandana au triomphe planétaire du tube déjà ancien Can't take my eyes off you, de Frankie Valli), ce Voyage au bout de l'enfer compte assurément autant sinon plus que son cousin direct, Apocalypse now, sorti un an après. — Jacques Morice (Télérama)
Cinélégende
mardi 3 février
2015 à 19h45
Soirée animée par Louis Mathieu, en présence de Philippe Grosbois, maître de conférences en psychologie clinique et psychopathologie, Faculté des Sciences Humaines et Sociales d'Angers.
Soirée organisée en collaboration avec l'association Cinélégende
VOYAGE AU BOUT DE L'ENFER
de Michael Cimino
Avec Robert De Niro, Christopher Walken, Meryl Streep
USA - 3H03 - 1978 - Version originale sous-titrée
1968. Mike, Steven, Nick, Stan et Axel travaillent dans l'aciérie du bourg de Clairton, Pennsylvanie, et forment une bande très liée. À Clairton, les histoires de coeur vont bon train : Steven épouse Angela, bien qu'elle soit enceinte d'un autre, et Nick flirte avec Linda qui semble troubler Mike. Mais cette tranquilité est rattrapée par la guerre du Vietnam lorsque Mike, Steven et Nick sont mobilisés pour partir au combat…
A PROPOS
Sur les trois heures épiques que dure ce film au casting affolant, une seule environ se déroule dans l'enfer vietnamien. C'est le chapitre du milieu. Avant, on voit les hauts fourneaux d'une aciérie de Pennsylvanie, une bande soudée de sidérurgistes, un mariage orthodoxe, des beuveries sans nom, une chasse au chevreuil dans des montagnes de western. Bref, une certaine image du rêve américain, mais aussi des présages. Après, il y a des vies brisées, des illusions perdues et surtout une amitié amoureuse ravagée. Riche d'interprétations diverses et de retombées plus ou moins anecdotiques (du port du bandana au triomphe planétaire du tube déjà ancien Can't take my eyes off you, de Frankie Valli), ce Voyage au bout de l'enfer compte assurément autant sinon plus que son cousin direct, Apocalypse now, sorti un an après. — Jacques Morice (Télérama)