ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

BIENVENUE A MARWEN - Robert Zemeckis

A PROPOS

"J’ai découvert l’histoire de Mark il y a 8 ans. Le documentaire était diffusé à la télévision publique américaine et j’ai pris ça en cours, j’avais raté le début. J’étais impressionné par ce que je découvrais, je voyais déjà ce que ça pouvait donner au cinéma, alors j’ai appelé le studio dès le lendemain matin pour leur pitcher mes idées.
Je suis toujours attiré par des histoires et des idées originales qui m’amènent à penser que la meilleure manière de les raconter sera grâce à des images mouvantes. Pas au théâtre, par écrit ou via un autre médium, mais uniquement au cinéma. En découvrant la vie de Mark Hogancamp, j’ai directement visualisé son adaptation en film : c’était une histoire exceptionnelle, et qui allait évidemment demander beaucoup d’effets spéciaux.
J’ai écrit The Walk, Retour vers le futur, Le Pôle Express et Bienvenue à Marwen. Parfois, je suis scénariste de mes films, parfois je mets seulement en scène. Je n’ai pas de plan, à ce niveau-là, ça se décide en fonction des projets. Je me considère comme un raconteur d’histoire. Et un réalisateur, évidemment, mais l’aspect ‘storyteller’ est le plus important. Quand je mets en scène, j’écris aussi, d’une certaine façon… mais avec des images."
Steve Carell ressemble beaucoup à son modèle, Mark Hogancamp, et Robert Zemeckis confirme qu’il a immédiatement eu le comédien en tête en préparant Bienvenue à Marwen.
"Steve Carell était mon premier choix. Ce n'est pas qu'une question de ressemblance physique, je pensais à lui car je savais qu’il saurait montrer les cassures de ce personnage, sa souffrance émotionnelle. Qu’il parviendrait à nous inviter 'dans son monde', ce qui est au cœur du projet. Comme Tom Hanks, il a aussi un côté 'Monsieur-tout-le-monde' qui collait bien à cet homme.
Nous l’avons entouré d’un casting international de femmes fortes : Leslie Mann, Jannelle Monae, Diane Kruger, Eiza Gonzalez, Gwendoline Christie… Dans son monde des poupées, il les voit comme ses protectrices. Elles le soutiennent, tiennent tête à ses ennemis. Cela fait partie de son fantasme, mais elles s’inspirent des femmes qu’il connaît dans la vraie vie. Il exagère certains traits de leurs caractères, mais elles sont réellement fortes. Notre but, c’était de montrer que l’art peut guérir, et sa guérison à lui passe par ces poupées, notamment celles de ces femmes qui le portent et sont capables de l’aider. C’est comme ça qu’il les voit."

Robert Zemeckis

Ciné Cosy
jeudi 3 janvier 2019 à 13h15

Séance adaptée aux parents avec leur bébé, avec son adouci, mise à disposition d'une table à langer, d'un chauffe biberon...


BIENVENUE A MARWEN

de Robert Zemeckis

avec Steve Carell, Leslie Mann, Eiza Gonzalez
USA - 2018 - 1h56 - VOST

L'histoire de Mark Hogancamp, victime d'une amnésie totale après avoir été sauvagement agressé, et qui, en guise de thérapie, se lance dans la construction de la réplique d'un village belge durant la Seconde Guerre mondiale, mettant en scène les figurines des habitants en les identifiant à ses proches, ses agresseurs ou lui-même.
http://www.universalpictures.fr/micro/welcome-to-marwen

A PROPOS

"J’ai découvert l’histoire de Mark il y a 8 ans. Le documentaire était diffusé à la télévision publique américaine et j’ai pris ça en cours, j’avais raté le début. J’étais impressionné par ce que je découvrais, je voyais déjà ce que ça pouvait donner au cinéma, alors j’ai appelé le studio dès le lendemain matin pour leur pitcher mes idées.
Je suis toujours attiré par des histoires et des idées originales qui m’amènent à penser que la meilleure manière de les raconter sera grâce à des images mouvantes. Pas au théâtre, par écrit ou via un autre médium, mais uniquement au cinéma. En découvrant la vie de Mark Hogancamp, j’ai directement visualisé son adaptation en film : c’était une histoire exceptionnelle, et qui allait évidemment demander beaucoup d’effets spéciaux.
J’ai écrit The Walk, Retour vers le futur, Le Pôle Express et Bienvenue à Marwen. Parfois, je suis scénariste de mes films, parfois je mets seulement en scène. Je n’ai pas de plan, à ce niveau-là, ça se décide en fonction des projets. Je me considère comme un raconteur d’histoire. Et un réalisateur, évidemment, mais l’aspect ‘storyteller’ est le plus important. Quand je mets en scène, j’écris aussi, d’une certaine façon… mais avec des images."
Steve Carell ressemble beaucoup à son modèle, Mark Hogancamp, et Robert Zemeckis confirme qu’il a immédiatement eu le comédien en tête en préparant Bienvenue à Marwen.
"Steve Carell était mon premier choix. Ce n'est pas qu'une question de ressemblance physique, je pensais à lui car je savais qu’il saurait montrer les cassures de ce personnage, sa souffrance émotionnelle. Qu’il parviendrait à nous inviter 'dans son monde', ce qui est au cœur du projet. Comme Tom Hanks, il a aussi un côté 'Monsieur-tout-le-monde' qui collait bien à cet homme.
Nous l’avons entouré d’un casting international de femmes fortes : Leslie Mann, Jannelle Monae, Diane Kruger, Eiza Gonzalez, Gwendoline Christie… Dans son monde des poupées, il les voit comme ses protectrices. Elles le soutiennent, tiennent tête à ses ennemis. Cela fait partie de son fantasme, mais elles s’inspirent des femmes qu’il connaît dans la vraie vie. Il exagère certains traits de leurs caractères, mais elles sont réellement fortes. Notre but, c’était de montrer que l’art peut guérir, et sa guérison à lui passe par ces poupées, notamment celles de ces femmes qui le portent et sont capables de l’aider. C’est comme ça qu’il les voit."

Robert Zemeckis