DES FIGUES EN AVRIL - Nadir Dendoune

A PROPOS

De son voyage sur les pas de son fils, un temps installé en Australie, Messaouda Dendoune a gardé des souvenirs éblouis et le goût des figues de Barbarie qu’elle y dégusta dès le mois d’avril. Mais aujourd’hui, cette femme de 82 ans, majestueuse sous ses fines tresses, ne quitte guère son petit appartement. Et ce même fils, le journaliste et globe-trotter Nadir Dendoune, a entrepris de faire parler sa mère, devant sa caméra Avec beaucoup d’amour, il la filme dans sa chambre, sa cuisine (avec une mémorable scène de beignets) ou sur le balcon, remontant, avec elle, le fil de sa vie. Ce face-à-face rend hommage à cette héroïne du xxe siècle, débarquée en France de sa Kabylie natale, sans savoir lire ni écrire, et qui a réussi à éduquer ses neuf enfants. Magnifique portrait d’une combattante du quotidien.
Emmanuelle Skyvington (Télérama) 

Soirée rencontre
mardi 19 juin 2018 à 20h00

en présence de Nadir Dendoune, réalisateur

Séance organisée en collaboration avec la ville d'Angers et Cinéma Parlant 


DES FIGUES EN AVRIL

de Nadir Dendoune

Documentaire
FRANCE

Le film « Des Figues en Avril » dessine le portrait drôle et bouleversant de Messaouda Dendoune, filmé par son fils Nadir. Au delà de la personnalité attachante, malicieuse, déterminée et passionnée de la vieille dame de 82 ans, on la découvre au quotidien dans son deux pièces de l’Ile Saint Denis, ponctué par la présence invisible de l’absent. Elle apprend désormais à vivre seule depuis que son mari Mohand, atteint de la maladie d’Alzheimer, a été placé en maison médicalisée. Messaouda, bercée par ses chanteurs kabyles emblématiques, comme Slimane Azem, raconte avec fierté, sa France des quartiers populaires et le devenir de ses enfants.

https://www.facebook.com/DesFiguesenAvril/

A PROPOS

De son voyage sur les pas de son fils, un temps installé en Australie, Messaouda Dendoune a gardé des souvenirs éblouis et le goût des figues de Barbarie qu’elle y dégusta dès le mois d’avril. Mais aujourd’hui, cette femme de 82 ans, majestueuse sous ses fines tresses, ne quitte guère son petit appartement. Et ce même fils, le journaliste et globe-trotter Nadir Dendoune, a entrepris de faire parler sa mère, devant sa caméra Avec beaucoup d’amour, il la filme dans sa chambre, sa cuisine (avec une mémorable scène de beignets) ou sur le balcon, remontant, avec elle, le fil de sa vie. Ce face-à-face rend hommage à cette héroïne du xxe siècle, débarquée en France de sa Kabylie natale, sans savoir lire ni écrire, et qui a réussi à éduquer ses neuf enfants. Magnifique portrait d’une combattante du quotidien.
Emmanuelle Skyvington (Télérama)