ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES
A PROPOS
"Une esthétique d’un raffinement exquis" André Lavoie - Le Devoir
"Un premier long métrage important, tant sur le fond que sur la forme." "Parfaites illustre de la plus belle des manières la dualité d’un sport de haut niveau méconnu." Charles-Henri Ramond - Revue Séquence
"Le film regorge donc de trouvailles stylistiques afin de mettre en exergue les maux des nageuses qui évoluent dans un monde de silence où Battaglia se permet d’être audacieux dans l’utilisation de plans que David Fincher lui-même n’aurait pas boudés." Alexandre Blasquez - Cinémaniak
Avant première rencontre
lundi 3 avril
2017 à 20h15
En présence de Jérémie Battaglia, réalisateur.
Séance organisée en collaboration avec Cinéma Parlant
PARFAITES
de Jérémie Battaglia
Film documentaire
CANADA - BRÉSIL - FRANCE - 2016 - 1h17 - Version originale sous-titrée
Qui n'a jamais eu de préjugés méprisants sur la natation synchronisée? Ridiculisée et ignorée, cette discipline sportive souffre de sa mauvaise réputation. Pourtant, derrière les paillettes et les sourires se cache un sport où se mélange le culte de la beauté et de la performance ainsi que des exigences athlétiques qui dépassent les limites de l'imaginable. PARFAITES, retrace le parcours émouvant et inspirant de Claudia, Marie-Lou et toute l'équipe nationale canadienne qui les mènera jusqu’aux qualifications olympiques à Rio de Janeiro. Face aux nombreux sacrifices à faire et aux défis à relever, réussiront-elles à concrétiser leur rêve? Et à quel prix?
https://jeremiebattaglia.com/fr/projets/parfaites-2/
A PROPOS
"Une esthétique d’un raffinement exquis" André Lavoie - Le Devoir
"Un premier long métrage important, tant sur le fond que sur la forme." "Parfaites illustre de la plus belle des manières la dualité d’un sport de haut niveau méconnu." Charles-Henri Ramond - Revue Séquence
"Le film regorge donc de trouvailles stylistiques afin de mettre en exergue les maux des nageuses qui évoluent dans un monde de silence où Battaglia se permet d’être audacieux dans l’utilisation de plans que David Fincher lui-même n’aurait pas boudés." Alexandre Blasquez - Cinémaniak